L'Interface du noirisme martiniquais!
Le racialisme noir (ou blanc) évolue dans un déni
des nations arc-en –ciel de la
Martinique-Guadeloupe-Guyane
(Cheikh Anta Diop avait mis en garde contre le nazisme à rebours et ses travaux ont été utilisés malgré lui, par les racialistes noirs et blancs ).
Les caraïbes et les Antilles Guyane n’ont jamais été des pays africains contrairement aux sophismes d’impérialismes et allégations des afro-centrismes et néo panafricanismes et de l’Europe impériale.
L’histoire
de peuplement ramène la Martinique et la
région des Amériques à des brassages humains d’origines diverses mais les théoriciens du racialisme (blanc et noir)
ont toujours essayé de défigurer la
réalité pour faire croire que ces pays sont européens et africains alors qu’ils
ne sont ni l’un ni l’autre, mais caribéens
et sud-américains.
Selon les objectifs des suprématismes
blancs et noirs cette stratégie
d’accaparements géostratégiques de cet espace américain est un enjeu impérialiste notamment :
a)
Pour diviser et pour régner contre
les intérêts étatiques souverainistes et d’autodétermination de ces
peuples et pays (Martinique-Guadeloupe-Guyane) en misant sur les
fractures et confrontations communautaires (noirs, blancs, métis, créoles, indiens, asiatiques, juifs, arabes, chrétiens, musulmans et autres).
b)
Le suprématisme blanc tirant de manière institutionnelle ("identité nationalité
euro-franco jacobines": départements, régions, euro-intégration ; vers les attaches de ces régions d’Amérique au continent d’Europe.
c) Le suprématisme noiriste (égo-ethnocentrique) tirant par l’afrocentrisme ou le néo panafricanisme de manière affective vers les contraintes d'un dictat des attaches de nos régions des Amériques au continent d’Afrique.
Le néo-panafricanisme à l’instar
des tentatives de l’hitlérisme du national socialisme de réunification de populations « de l’arianisme » en
Europe exploite les mêmes centres
d’intérêts affectifs sous le couvert d’un suprématisme totalitarisme noir (noirisme inventé par les dictateurs noiristes duvalieristes).
Nous avons sous prétexte de "la
fraternité maçonnique" des « frères noirs » l’idée de Philipe Omotunde et de ses affiliés martiniquais: doctorants, sociologues, avocats et « intellectuels »
racialistes du noirisme d’instaurer le
royaume et la monnaie du pharaon Kemet en
Martinique, Guadeloupe et Guyane pour l’exploitation et l’oppression du totalitarisme noirisme...(interview kmasphère).
Ces affinités fascisantes rapprochent les objectifs des suprématismes
blancs et noirs, plutôt de les
opposer.
L’afro centrisme maçonnique ou le néo-
panafricanisme étant censé réunir sous un même étendard (ne touchez pas à
nos "identité nationalité" et couleurs-NRV sous aucun prétexte...); les orientations
réactionnaires basées sur
l’affect du racialisme et la
mélanine et ils partagent la primauté capitalistique monopoliste de la lutte de race contre la lutte des classes.
Les mêmes critères
font du capitalisme, de l’impérialisme et du racialisme
de l’afrocentricité ou néo panafricanisme, des frères jumeaux prédateurs compatibles dans leurs stratégies destinées à diviser et dominer les peuples et pays caribéens et des Amériques.
Les causes et effets sont
évidemment toujours les mêmes que le système du jacobinisme à savoir : "des conflits
raciaux3, ethniques religieux, agressions,
la division des communautés et des
populations pour dominer les sociétés par
les processus impérialistes de la « lutte des races contre la lutte des classes ».
[1]
En
1784 , Prince Hall reçoit la reconnaissance officielle de la Grande loge à
laquelle ses frères et lui sont affiliés. La nouvelle obédience exclusivement
noire prend alors le nom d’African Lodge n°459. La nouvelle de la création
d’une maçonnerie noire se répand. De
fait, de nombreux noirs veulent aussi créer des loges dans leurs villes
respectives. Philadelphie, Providence et New-York eurent respectivement leurs
loges rattachées à Prince Hall. Ainsi, en 1791 , les francs-maçons noirs
de Boston se réunirent pour former l’African Grand Lodge of North América.
[1]
Apparition
du nationalisme en tant que doctrine. (Paragraphe 1 page 18 M A Naqavi)
« Pour
les jacobins le nationalisme devint un moyen d’exalter les sentiments du
peuple, d’appeler à la mobilisation générale, d’agresser les pays voisins, de
développer l’expansionnisme, de tuer et de massacrer, de répandre la
corruption, de réprimer les libertés, et d’accentuer l’égocentrisme, et il fut
prouvé que toute tendance pour (ce) nationalisme est toujours suivie de guerre, de l’agression
et de l’impérialisme. Pour les jacobins, l’axe de la décision résultait dans
les intérêts exclusifs de la France… (Paragraphe 1 page 18 M A Nqavi
(Apparition du nationalisme en tant que doctrine) ».
3°)
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