Photographies: (Omar Ibrahim Frantz FANON & Son Ami iranien/l'idéologue Ali Shariati et Loulou Marc PULVAR "le Père de la Nation martiniquaise) (Annexe Frantz Fanon lui aussi marqué comprendra avant sa mort aux USA comme Ibrahim Omar FANON ce qui faisait l'objet de ses inquiétudes) (Voir Notes en rapport FANON/ Ali Shariati).
Avertissement: A propos de Loulou Marc PULVAR nous étudierons ( pour nos prochains articles) et ANALYSONS les velléités ou capacités de réagir d'une classe intellectuelle politique intimidée et testée à partir (...) des scandales en commandite politique de l'empire, à pouvoir ou non défendre leur leader historique Loulou PULVAR de qui un certain nombre dispose et détient de son héritage et politique et syndical(...)
[1] du nationalisme jacobin euro français.
Cette idéologie étrangère rivale de l’impérialisme est une erreur gravissime à éviter dans la conception
de notre identité nationalité patriotique normale.
Notre
projet « identité nationalité » est incompatible aux références des antivaleurs
extrémistes décalquées d’un nationalisme martiniquais aligné ou s’inspirant du nationalisme jacobinisme euro
français.
L’idéologie
de notre délivrance patriotique ne
peut l’entériner ; nous ne pouvons
réussir la libération
de cette assimilation idéologique ou politique étrangère française.
Cette
assimilation politique étrangère du nationalisme jacobin est l’interface de
domination de la tierce culture coloniale impérialiste française de ses accointances tropicales.
Abstraction faite des apparats, emblèmes, couleurs, cérémonies, chants d’exaltations patriotiques et centres d'intérêts équivoques qui peuvent être trompeurs ou de suspicion de diktats systémiques expérimentés par la bourgeoisie du néocolonialisme ou d’indépendances nominales en Afrique et insulaires notamment en Haïti.
Nous devrions proclamer que sortir de la nationalité du nationalisme jacobin
français est le seul réel chemin du combat pour une vraie nationalité identité martiniquaise,
permettant la conquête de la chère patrie et le pouvoir de l’Etat des masses.
[1]
Apparition
du nationalisme en tant que doctrine. (Paragraphe 1 page 18 M A Naqavi)
« Pour
les jacobins le nationalisme devint un moyen d’exalter les sentiments du
peuple, d’appeler à la mobilisation générale, d’agresser les pays voisins, de
développer l’expansionnisme, de tuer et de massacrer, de répandre la
corruption, de réprimer les libertés, et d’accentuer l’égocentrisme, et il fut
prouvé que toute tendance pour (ce) nationalisme est toujours suivie de guerre, de l’agression
et de l’impérialisme. Pour les jacobins, l’axe de la décision résultait dans
les intérêts exclusifs de la France… (Paragraphe 1 page 18 M A Nqavi
(Apparition du nationalisme en tant que doctrine) ».
*NOTES EN RAPPORT AUX ECHANGES FANON ET ALI SHARIATI
"C’est surtout l’appel de Fanon à recommencer une histoire
de l’homme et à refonder un nouvel humanisme désaliéné, surmontant les
particularismes ethniques et religieux des luttes de libération nationale du
tiers-monde qui fascine tant Shariati : un homme qui est « son propre
fondement et chez qui, la densité de l’histoire ne détermine aucun de ses actes
et qui s’introduit dans le cycle de sa liberté [1] ».
4Shariati, qui
est alors le directeur de L’Iran libre,
journal édité par l’opposition iranienne à Paris et diffusé clandestinement en
Iran, se met à traduire Fanon et à le faire connaître au monde intellectuel
iranien. Il traduit d’abord la conclusion des Damnés
de la terre, accompagnée de la préface de Sartre, puis entame une
traduction inachevée de L’an V de la
révolution algérienne. Entre temps, il entre en contact avec Fanon et
essaie d’entretenir une correspondance, en lui demandant d’écrire une introduction
à la traduction persane de L’an V de la
révolution algérienne. Shariati évoque l’échange de trois lettres entre
lui et Fanon. La troisième a été traduite en persan et publiée par Shariati [2][3].
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