mercredi 3 mars 2021

« IDENTITE NATIONALITE » MARTINIQUAISE DECALQUEE AUX ANTIVALEURS D’UN NATIONALISME JACOBINISME EURO FRANÇAIS

 Photographies: (Omar Ibrahim Frantz FANON & Son Ami iranien/l'idéologue Ali Shariati et Loulou Marc PULVAR "le Père de la  Nation martiniquaise) (Annexe Frantz Fanon lui aussi marqué comprendra avant sa mort aux USA comme Ibrahim Omar FANON ce qui faisait l'objet de ses inquiétudes) (Voir Notes en rapport FANON/ Ali Shariati). 

Avertissement: A propos de Loulou Marc PULVAR nous  étudierons  ( pour nos prochains articles)  et  ANALYSONS   les velléités ou capacités de réagir d'une classe intellectuelle politique intimidée et testée à partir (...) des  scandales en commandite politique de l'empire, à pouvoir ou non défendre leur leader historique Loulou PULVAR de qui  un certain nombre dispose et détient  de son héritage et politique et syndical(...) 

A propos de  la classe intellectuelle  et politique  la difficulté de compréhension idéologique  relève effectivement du nationalisme jacobin martiniquais et d’autres déviations sur lesquelles  l'avant garde des militants néophytes n’y ont pas réfléchies dans l’engouement des passions d’opposition face aux adversaires : l’étranger colonialiste et leurs supports oligarchiques intérieurs tout en perdant de vue les ambitions d'une bourgeoisie opportuniste et ses connivences  pro occidentales néocoloniales de la pensée unique.

 Cette idéologie étrangère rivale  de l’impérialisme est une  erreur gravissime à éviter dans la conception de notre identité nationalité patriotique normale.

Notre projet « identité nationalité » est incompatible aux références des antivaleurs extrémistes décalquées d’un nationalisme martiniquais aligné ou  s’inspirant du nationalisme jacobinisme euro français.

L’idéologie de  notre délivrance patriotique ne peut  l’entériner ; nous ne pouvons réussir  la   libération  de cette assimilation idéologique ou politique étrangère française.

Cette assimilation politique étrangère du nationalisme jacobin est l’interface de domination de la tierce culture coloniale impérialiste française de ses accointances tropicales.

Abstraction faite des apparats, emblèmes, couleurs, cérémonies, chants d’exaltations patriotiques et centres d'intérêts équivoques qui peuvent être trompeurs ou de suspicion de diktats systémiques expérimentés par la bourgeoisie du néocolonialisme ou d’indépendances nominales  en Afrique et insulaires notamment en Haïti. 

Nous devrions proclamer que sortir de la nationalité du nationalisme jacobin français est le seul réel chemin du combat pour une vraie nationalité identité martiniquaise, permettant la conquête de la chère patrie et le pouvoir de l’Etat des masses.

 



[1] Apparition du nationalisme en tant que doctrine. (Paragraphe 1 page 18 M A Naqavi)

« Pour les jacobins le nationalisme devint un moyen d’exalter les sentiments du peuple, d’appeler à la mobilisation générale, d’agresser les pays voisins, de développer l’expansionnisme, de tuer et de massacrer, de répandre la corruption, de réprimer les libertés, et d’accentuer l’égocentrisme, et il fut prouvé que toute tendance pour (ce) nationalisme  est toujours suivie de guerre, de l’agression et de l’impérialisme. Pour les jacobins, l’axe de la décision résultait dans les intérêts exclusifs de la France… (Paragraphe 1 page 18 M A Nqavi (Apparition du nationalisme en tant que doctrine) ».


*NOTES EN RAPPORT AUX ECHANGES FANON ET  ALI SHARIATI

"C’est surtout l’appel de Fanon à recommencer une histoire de l’homme et à refonder un nouvel humanisme désaliéné, surmontant les particularismes ethniques et religieux des luttes de libération nationale du tiers-monde qui fascine tant Shariati : un homme qui est « son propre fondement et chez qui, la densité de l’histoire ne détermine aucun de ses actes et qui s’introduit dans le cycle de sa liberté [1][1]F. Fanon, Les damnés de la terre, préface de Jean-Paul Sartre… ».

4Shariati, qui est alors le directeur de L’Iran libre, journal édité par l’opposition iranienne à Paris et diffusé clandestinement en Iran, se met à traduire Fanon et à le faire connaître au monde intellectuel iranien. Il traduit d’abord la conclusion des Damnés de la terre, accompagnée de la préface de Sartre, puis entame une traduction inachevée de L’an V de la révolution algérienne. Entre temps, il entre en contact avec Fanon et essaie d’entretenir une correspondance, en lui demandant d’écrire une introduction à la traduction persane de L’an V de la révolution algérienne. Shariati évoque l’échange de trois lettres entre lui et Fanon. La troisième a été traduite en persan et publiée par Shariati [2][2]Shariati affirme avoir entretenu une correspondance avec Fanon…Depuis, Fanon reste une référence constante dans toute son œuvre [3][3]Le nom de Fanon est cité 145 fois dans son œuvre complète.".

 







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