LE COMBLE POUR
L’AFRIQUE ET SA DIASPORA: LABORATOIRES SECTAIRES DE MANIPULATION
DES OLIGARCHIES EXTRÉMISTES MATÉRIALISTES CAPITALISTES !
Recherches sur la
civilisation africaine continentale et dans la diaspora ! Pourquoi rester prudents, et objectifs concernant les
relations existantes entre les théories du suprématisme « blanc » ou
« noir » ?
C’est
l’âme et autant la spiritualité des peuples afrogénères (Afro
descendants) qui comme en Afrique ont forgé : Sagesse, Savoir, Pensée,
coutumes et traditions ou lois.
Certains
déclarent à tort ou à raison l’historique des origines des nègres ou traditions.
Pour
les uns il s’agit de L’Égypte, d’autres de l’Éthiopie à savoir, nous avons
affaire à des courants de création contemporaine nés en Occident, surtout des
USA et dans la diaspora qu’ils prennent comme référence :
1.
D’une part des
travaux de Cheikh Anta Diop qui n’ont jamais fait l’unanimité en Afrique ou
ailleurs.
2.
D’autre part le constat
d’hypothèques existentielles de nos
Nations Arc-en Ciel des patries caribéennes, sud-américaines, et la fondation d’un « État » qui
est toujours et encore menacée pour nos
peuples y compris les Noirs aux USA en
perte des acquis :
a)
Par l’idée inouïe
du rapatriement de tous les noirs en Afrique…
b)
Par l’idée reçue
du racialisme extrémiste selon laquelle la Martinique serait un pays africain,
un postulat mensonger, du suprématisme Noir ; « d’un racisme à
rebours » qui préconise le rouleau compresseur d’éradication des autres
martiniquais indiens, des martiniquais amérindiens, des martiniquais blancs
(d’origine européenne), des martiniquais créoles, des martiniquais d’origine
arabe, juive et chinoise et autres.
c)
Par les
stratégies de remplacement dans la logique des fondations des sectes par les
laboratoires de manipulation des oligarchies ou de la pieuvre.
3. « L’Éthiopie » est devenu le pays référencé
pour adoption des rastafaris, un
choix effectué par eux les rastas, entendons bien, non pas par tous les africains, ressortissants des USA, de Jamaïque et
d’autres ressortissants originaires de la Caraïbe et de l’Amérique du Sud.
Concernant le phénomène rastafari, un petit nombre d’adeptes
ont émigré vers ce pays africain l’Éthiopie et d’autres en Israël ou
d’autres dits « juifs Noirs »
sont depuis marginalisés durant plusieurs décennies. Sauf pour l’Éthiopie où
certains rastas sont parvenus enfin à des acquis en 2019 d’obtention de la
naturalisation éthiopienne, sous la présidence d’une femme Sahle-Work Zewde et d’un
premier ministre musulman Abiy Ahmed.
4.
En ce qui
concerne des mêmes africains déportés et leur descendance qui se sont
reconvertis à l’islam dans la diaspora aux Amériques, dans la Caraïbe, au
Brésil ; ceux-ci relèvent d’une filiation d’antériorité d’historicité
ancienne d’Afrique reconnue universellement sans aucun doute. Ces afro
descendants (afrogénères) musulmans, sans abdiquer de leur marqueur
civilisationnel ou religieux intègrent leur loyauté-nationalité dans leurs pays
respectifs où ils se trouvent. Ceux-ci ne se renient pas de leurs ancêtres
africains du continent pratiquant la religion musulmane depuis très longtemps.
D’où la présence africaine musulmane aux Amériques, dans la Caraïbe, Brésil y
compris des associations communautaires aux Antilles Guyane sous tutelle, dans
les régions insulaires caribéennes, de l’atlantique, du pacifique jusqu’à
l’océan indien.
A cet effet, le système occidental opère selon des
stratégies d’occultation de l’information et de purification éducationnelle,
ethnico religieuse compatibles aux projets assimilationnistes des anciens
colonisateurs occidentaux des comptoirs de commerce d’esclaves surtout détenus
des « colons juifs ashkénazes et
yiddishophones » et
de leurs adeptes du nouveau colonialisme.
A savoir, les intéressés tropicaux aux commandes systémique
« du devoir connaitre et
savoir » ont toujours dispensé une information sélective occultant ou
marginalisant « par des substituts de cultures de remplacement » pour
pouvoir conditionner dans leur système les peuples de la diaspora négro
africaine qu’ils s’évertuent à régir selon leurs lois étrangères vers un processus
de dictature.
Nous
disposons d’une panoplie de référence pour resituer les origines de la vie
africaine en dehors et à l’intérieur de l’Afrique.
Cependant
vu les courants communautaires de datation récente ou contemporaine :
a)
Cheikh Anta Diop (né le 29 décembre 1923 à Thieytou - mort le 7
février 1986 à Dakar)
b) De l’implantation
récente aux Amériques et Caraïbe (1930)
des rastafaris adossés depuis au continent africain en référence à l’Éthiopie.
Nous prendrons sous toutes réserves ces références récentes à
l’échelle de l’histoire du continent africain et aux quatre siècles de la
présence des africains déportés aux Amériques et Caraïbes.
Il faudrait rappeler en effet diverses créations sectaires
ont été prévues depuis les centres de contrôle aux USA et en Occident englobant
l’Amérique du Nord au Sud y compris la Caraïbe et les Antilles Guyane sous
tutelle.
L’impérialisme a toujours opéré de ses stratégies
d’innovations communautaires ou sectaires destinées à contrer la progression et le développement musulman des populations
africaines dans l’espace colonial occidental. Ceci deviendra un récurent
problème des aspirants parmi les nouvelles élites à pouvoir exercer leur
domination néocoloniale en présence d’un facteur martiniquais ou autre non
dépendant.
Ces populations noires africaines appelées « mahométanes » (en réalité
islamiques) ont toujours posé des problématiques d’opposition aux implantations
des civilisations occidentales. Ceci est historique et daté dès les intrusions
de Vasco de Gama et de Christophe Colomb, dans les régions occupées dites
« du nouveau monde » depuis la reconquista espagnole contre les
africains et arabo berbères maures ou les arabo-musulmans d’Espagne.
En rappelant combien leur défaite espagnole et de la Grenade
(...) face à la chrétienté occidentale a rouvert la voie à l’occupation du
colonialisme sur les terres des peuples premiers aux Amériques, et dans la
Caraïbe. Ceci a présidé à l’origine des
génocides des indiens-amérindiens précédents concomitants à l’arrivée des noirs
africains de toutes catégories confessionnelles indifférenciées déportés de l’Afrique continentale pour la Traite et l’esclavage
aux Amériques et dans la Caraïbe où se situent les Antilles Guyane dites
françaises.
Nous devrions tenir compte du fait que les gènes de la résilience et résistance des afrogénères
(afrodescendants) des africains de la diaspora ne sont pas issus d’un
quelconque pharaonisme ou égyptianisme
dit kamitisme inhérent au système d’oppression et de la tyrannie pré-impérialiste
de toujours combattue dans ces régions (l’Afrique ou en l’Orient) qui
formaient un seul et même continent avant leur séparation géotectonique par
des bras de mer et de terre dispersés.
Cependant dès les 14 et 15 eme siècles des africains du
continent qu’ils soient animistes et musulmans sont prouvés avoir résisté
farouchement contre les colons occidentaux. Nous pouvons cerner les évidences les gènes de la résilience et résistance
des afrogénères (afrodescendants) des africains de la diaspora.
Ce phénomène de résistance et de résilience est le
prolongement des mêmes luttes des mêmes africains déportés en esclavage aux
Amériques et dans la Caraïbe, héritées de tous ces gènes de lutte, de
résistance et de résilience. Ceci explique la volonté de détournement des
colons et des phénomènes sectaires qu’ils initient comme folklore de
déviation(kamite ou pharaonistes et autres) pour épargner les systèmes de
domination capitalistes et impériaux qui entérinent de tels phénomènes
d’exploitation des noirs y compris de la neutralisation des patries par les intermédiaires
d’inféodés du nombre des nouveaux colons.
Ainsi les colons et leur suite tropicale aux Caraïbes ou aux
USA ont-ils exercé dans l’histoire et la réalité la pratique et l’exercice politique de la théorie de
l’épuration ethnico-religieuse à celle de la culture, de l’éducation, de
l’histoire et de la mémoire aux seules fins d’engendrer « une culture
de domesticité » comme substitut « à la culture de gouvernement »
inhérente aux civilisations quelles soient animistes ou musulmanes ou
chrétienne orthodoxes des fils et filles africains de la diaspora.
Au départ dès la descente des cales des négriers aux
structures tutélaires installées jusqu’à nos jours, cette sélection épuration
ethnico-religieuse, de la culture, de l’éducation, de l’histoire et de la
mémoire concernait les croyances religieuses indifférenciés (animistes,
musulmane, théologie chrétienne orthodoxe de libération) fondatrices des lois
ou constitutions opposables au système européen du colonialisme.
Cette problématique de
sélection exclusion concernait ces civilisations susmentionnées puisque rebelles
qu’elles soient animistes et surtout musulmane à l’instar des West-indies
Trinidad Tobago, Guyana, St Vincent, Grenade, et autres, aux USA et en Amérique
du Sud. Les africains ressortissants de ces visions étaient considérés comme
impropres à être un objet de consommation du système de
« colonisabilité » selon l’expression du savant Malek Benabi
d’origine algérienne.
De là à faire comprendre les mobiles du crime contre
l’humanité et à qui profite le processus de re-fonderie de la personnalité, de
remplacement ou du déni de l’altérité africaine et confessionnelle des
professionnels kamites et afrocentristes au service des oligarchies impérialistes
et de la pieuvre ?
Selon l’entité
suprématiste discriminatoire il a fallu inventer le soi-disant « barbare ou damné de la
terre » ; les gentils ou
goys : selon l’acception élitiste aux origines talmudiques. Cette
version relative au nationalisme jacobin franco-euro ou napoléonien
correspondait à ceux d’êtres
stigmatisés de « non humains » ; non possesseurs « d’âme »
contrairement aux élitistes talmudiques « Supérieurs ». Par
conséquent une catégorie « d’intouchables » qui devaient être
baptisés, « civilisés » selon les normes et apostoliques romaines,
baptistes et par ailleurs laïques, dès l’ère de l’école julférienne.
Aussi ici et là ont été détectées les idées des
« lumières » ; ce pour quoi certains humains devaient ou mourir
ou être civilisés… Il s’agit là encore, d’un autre aspect de ladite
purification ethnico religieuse, de purification éducationnelle de la mémoire…
Ce à quoi par intérêt et mimétisme, certaines élites tropicales contemporaines néocoloniales
sont encore attachées. Lesquelles ont avalisé pour elles-mêmes et nous
autres ; ce qui s’appelle « la
transmission de la connaissance et du savoir ». Alors qu’il est
question d’éléments équivoques ; d’œuvres occidentales
contradictoires : dites chrétiennes et laïques»…
Nous sommes dans un dilemme de déconstruction coloniale
occidentale par retransmission de l’arbitraire de la contrainte couplée
de la force amorale capitaliste usitée au profit de propagation d’une éducation
pseudo nationale européenne d’assimilation et de soumission à perte d’identité
…
Nous devrions rester prudents, et objectifs concernant des
recherches sur la civilisation africaine continentale et dans la diaspora et les relations existantes
entre les théories du suprématisme « blanc » ou « noir »
désignées des nouveautés suspectes
d’origine occidentales de « l’afrocentricité » ou du moins de
l’égyptianisme, du kamitisme y compris des innovations sectaires chez les noirs
de la diaspora aux USA et aux Caraïbes.
Sachant qu’il existe
derrière les innovations sectaires telles que susmentionnées les mêmes volontés
suprématistes « noires » ou « blanches ».
Nous comprendrions
l’origine de ces innovations sectaires, de là où elles sont issues d’un même socle
talmudique et « élitiste d’un « soi-disant peuple élu ».
Il s’agit d’un
impérialisme racialiste ou « nouvel apartheid de la pieuvre
identifiée »…ou négationnisme qui correspond à un projet tyrannique ou
pharaonique.
Cette tendance se
manifeste des impuretés des intentions présentes chez certains qu’ils
soient : « Noir ou Blanc ». Ce dont la raison éclairée juge
évidemment contraire à la mission dévolue à la race humaine et du vivre
ensemble en faisant abstraction du racialisme, du racisme au profit de l’équité
et du partage à profit social humain...
Tout ceci constitue des déviations de la civilisation humaine
qu’elle soit africaine ou non. Car il est d’évidence qu’un esprit normatif ne
peut considérer comme profitable de propager les aberrations de ce genre qui
sont des maladies épidermiques et déviances de la raison.
Sachant que interviennent « la force amorale » : mépris, condescendance
assimilation et persécutions. Ce genres de maladies humaines provoquent des
conflits calamiteux reliés aux penchants morbides et mortifères du racisme, du
fascisme, des diktats de l’intolérance de mise à l’index aboutissant aux
persécutions des uns par les autres y compris des majorités par les minorités
raciales , ethniques, religieuses et vis et vers sa.
Qu’il s’agisse
« de l’homme blanc ou noir » nous ne considérons pas comme des
coutumes, des traditions ou des civilisations les idées et pratiques d’aucuns des
suprématismes racialistes.
C’est la raison pour laquelle dans l’étude, nous ne reprendrons pas en compte au titre
de culture et civilisation africaine : les courants extrémistes du
racialisme (de « l’afrocentricité » ; de l’égyptianisme, du
kamitisme) comme facteurs de civilisations pour étudier sur le continent et
dans la diaspora africaine nos relais coutumiers, des traditions, culturelles,
concernant les civilisations africaines dans la réalité objective positive du
monde.
Sachant la provenance des recrudescences sectaires des USA
aux Amériques et leur mobile de développement ou de propagation, il serait
erroné en conséquence de valider les stratagèmes des sectarismes effectués au
dépends des civilisations africaines et caribéennes ou sud et nord américaines.
En effet il est dans le viseur de nos civilisations
agressées ; ceux-là mêmes qui depuis Champollion et Napoléon jusqu’au
partage de l’Afrique à la Conférence de Brazzaville ont balkanisé notre
continent : fractionné, de frontiérisme ou du nationalisme occidental
jacobin.
Leur partage, la division du Proche et Moyen orient ont été
faits de même avec le Congrès mondial des Balfour (…) y compris des généraux
Mac-Mahon, Syses et Picots , de l’Angleterre et au profit de tous les
colonisateurs d’Occident y compris de la pieuvre de Palestine ou mondiale.
Aussi ce qui réunit nos destins de l’Afrique, l’Orient et la
diaspora aux Amériques et dans la Caraïbe n’est ce pas ce combat ?
Cette lutte Sud-Nord nous assemble et rassemble alors que les
objectifs impérialistes racialistes des suprématismes « Blanc et
Noir » veulent les annihiler et détruire de leurs stratagèmes sectaires et
innovations colonialistes : diversions sur l’Afrique, l’Égypte ou l’Orient
pour le conflit ?
Il ne s’agirait que de contres- exemples racialistes et
sectaires ou d’un racisme à rebours à déconseiller par expertise comme des
vecteurs usités des brouilleurs de consciences néfastes aux éléments
africains reconstructeurs sur le
continent et dans sa diaspora de nos authenticités unionistes regroupant l’unité
et la tolérance qui font l’organisation prometteuse de libération africaine et
de la diaspora dans la lutte globale Sud-Nord.
Quels sont les mobiles
des innovations de l’anthropologue sénégalais Cheikh Anta DIOP en rapport
au scénario du nationalisme noir suprématisme camouflé d’un jacobinisme ou napoléonien « racialiste
Blanc élitiste » ?
Dans son choix de Sénégalais « croyant » qui choisit pour des raisons
« instinctuelles » un autre
programme de plus haute facture de dorer la blason de la civilisation
pharaonique, au détriment celle des protagonistes Moïse et autres avatars anciens
et contemporains ligués contre tous les
despotes et tyrans d’outre tombe. La démarche de l’anthropologie de la truelle
orientée dans ce sens dans une culture africaine fécondée de la connaissance de
l’Invisible ou de l’agent moteur et du docte pose autant de problèmes qu’au
croyant africain qu’au scientifique indifférencié ! A qui profite
l’inversion vers la primauté du matérialisme de recherche de l’identité
africaine dans la corporéité incarnée de la tyrannie pharaonique, égyptianiste ?
Cette démarche de la
recherche même si le chercheur s’en défend est connotée contre productive… Aussi argumentée et savante soit-elle ;
cette dite recherche pose problème sur les mobiles de créer une orientation
rivale, aux valeurs immatérielles de la vision non antagoniste ; de par Cheikh
Anta DIOP et SON racialisme incarnée dans les postulats pro-égypto-pharaoniques du scientifique.
Alors Cheikh Anta DIOP « musulman « anthropologue »
n’est-il que l’ombre ou son contraire ? Sous d’autres facettes obscures au
profit de quoi sert-il l’apostasie égyptianiste, pharaonique et kamite ?..
Puisqu’en effet ce même Cheikh Anta DIOP se fait prosélyte du pharaonisme ;
et qu’il s’efforce de convaincre les noirs africains de se rallier à la
civilisation antagoniste du pharaonisme ; de là où il cherche à faire
remonter à tort ou à raison la civilisation africaine…
A partir de cette rupture, Cheikh Anta Diop a-t-il choisi de
lever le socle d’une boite de pendoir,
fondée sur un nationalisme noir, élitiste, basée sur la truelle de
l’archéologie. La démarche apostâtes diopienne pour peu qu’elle soit
universellement reconnue n’a aucun lien et rapport avec les fondamentaux
immatériels de la civilisation traditionnelle, de ce peuple non –européen
qu’est notre peuple africain, ni ceux de l’Orient et des peuples non européens
dont les croyances sont notifiées de l’histoire empirique des civilisations…
Cette histoire empirique des civilisations se réfère non
aux antivaleurs matérielles, mais à l’existence pérenne de la transcendance, de
ses transmissions immatérielles de l’abstrait (l’invisible) que ne peuvent
concrétiser le matérialisme et l’anthropomorphisme de la corporéité de
sarcophages, momies, pyramides,,statuts d'idoles périssables… Ce matérialisme égyptologique est facture de religion
fausse, déguisée de croyances pseudo spirituelles. Cette imposture ne symbolise
pas du tout la vision des civilisations vraiment africaines mais celles des
civilisations non africaines : (grecques, romaines occidentales) en déclin
à l’instar de la civilisation égypto-pharaonique d’une rupture. Ce qui induit
logiquement à s’interroger si les « égyptiens anciens » à l’instar
des pharaons de référence kamites de ladite « afrocentricité égyptianiste étaient
vraiment africains ; qu’en terme d’une imposture qui les rendait
impropres à être des nôtres ; contrairement à ce dont Cheikh Anta DIOP et
ses émules d’apostats veulent nous faire croire ?
L’Afrique vraie est
non du « matérialisme » mais vivante de ses rapports à la
transcendance et non à la mélanine (matérialisme, peau noire ou blanche) de cette corporéité éphémère ,
ou illusoire, limitée vouée à l’extinction ou caducité à l’instar de la
civilisation pharaonique et autres.
L’Afrique ou l’Orient s’est
doté de leur base (terre à terre sociétal)
vers la transcendance, d’une civilisation fondée sur des lois, des
traditions, des coutumes et modes de vies.
La civilisation
authentique africaine ou orientale reliée à cette TRADITION est opposée
diamétralement aux ruptures et déviances de la civilisation
égyptianisto-pharaonique controversée à laquelle se sont rattachés
« l’afrocentricité et ses variantes d’un sophisme kamite ». Tels les
folklores financées des laboratoires de manipulation, inaugurés par procuration
dirions nous de l’anthropologie truelle occidentale de Cheikh Anta Diop ou autres déviances
de cette école.
Personne n’est censé ignorer les ressorts délictuels la
civilisation égyptianisto-pharaonique. Il s’agit du contresens signifiant le
summum de l’impérialisme et des turpitudes des iniquités- tyrannies ou diktats fascistes.
Tout ceci a-t-il inspiré l’Europe de la Rome impériale à la
révolution française jusqu’à la fondation du nationalisme extrémiste jacobin
élitiste des « élus » à l’origine des calamités des ruées vers les
terres dites vacantes.
A un tel système se réclament encore de nos jours les
oligarchies, le nouvel ordre mondial, le capitalisme monopoliste de la finance
apatride et de ses corollaires de la " pieuvre mondiale".
Tous ces processus ont réitéré des formes d’esclavages
pharaoniques et des empires coloniaux copiées conformes à l’expansionnisme des
pharaons et de leur processus dits de « civilisations »
anéantis ; mais dont se réclament aujourd’hui aussi bien des émules cheikh
anta-diopiennes, que des pires oligarchies. Lesquels ont tous en commun leurs mission des mêmes arguments et
sophismes matérialistes, anthropologiques, archéologiques de truelle, mathématiques
et autres argumentaires à dessein de ressusciter aux dépens des africains et de
leur continent et de la diaspora : mythes et religions caduques
comme obstacles et déviances à libérer le continent africain et sa diaspora de
tels pièges ou aberrations systémiques.
A cette civilisation caduque, et disparue à sa date
historique de préemption elle a été remplacée par d’autres actuelles vivantes
et autres d’une utilité pérenne au développement de l’humain universel pour
rompre avec les déséquilibres de toute nature mettant en péril l’humanité par
le désordre, l’injustice, la corruption sur terre, les inégalités par
l’accaparement des « élus »
pour la dépossession et les rackets des droits ou des biens, des uns et des autres…
Toutes ces innovations anthropologiques du chercheur Sénégalais soi –disant musulman Cheikh Anta DIOP infirment cette appartenance codifiée de principes
immuables éternels du convenable réfutant la blâmable.
Les
productions dérivées des émules ou d’AFRICA’MAAT alimentent les laboratoires et
universités occidentales, issues des projets et stratégies de remplacement des
oligarchies.
Ces
institutions veulent la faire croire, à travers les travaux et productions
d’intellectuels occidentalisés à charge des centres cybernétiques occidentaux, à
la validité racialistes des innovations mélaninoïdiques ou des idéologies racistes
à l’instar du nationalisme jacobin ou
napoléonien nés en occident tirés de l’idéologie élitiste talmudique ou du « peuple élu » ; dont
certains racialistes nationalistes extrémistes noirs vont se faire les
promoteurs depuis l’occident.
Pôle Afro Eurasie de la Pensée Caribéenne.
Pour la première
fois, l’Ethiopie a une femme présidente Sahle-Work Zewde a été désignée à l’unanimité par les
parlementaires, en remplacement du président démissionnaire Mulatu Teshome.Le Monde avec AFP Publié le 25
octobre 2018 à 12h21 - Mis à jour le 26 octobre 2018 à 06h39
Entré en politique en 20104, Abiy Ahmed est brièvement ministre des
Sciences et des Technologies de 2015 à 20166.
C'est la première fois que l'ethnie des Oromos (majoritaire dans le pays) est représentée à
la tête du pouvoir. Sa confession religieuse ainsi que ses origines sont
parfois perçues comme un « atout » dans
le besoin de fédération du pays2. (Réf/ Wikipédia).
Le mouvement
rastafari (ou « rasta ») est un mouvement social,
culturel et spirituel qui s'est développé à partir de la Jamaïque dans les
années 1930. (Réf/ Wikipédia).