lundi 17 juin 2019

LE COMBLE POUR L’AFRIQUE ET SA DIASPORA: LABORATOIRES SECTAIRES DE MANIPULATION DES OLIGARCHIES EXTRÉMISTES MATÉRIALISTES CAPITALISTES !






LE COMBLE POUR L’AFRIQUE ET SA DIASPORA: LABORATOIRES SECTAIRES DE MANIPULATION DES OLIGARCHIES EXTRÉMISTES MATÉRIALISTES CAPITALISTES !

Recherches sur la civilisation africaine continentale et dans la diaspora ! Pourquoi rester prudents, et objectifs concernant les relations existantes entre les théories du suprématisme « blanc » ou « noir » ?

C’est l’âme et autant la spiritualité des peuples afrogénères[1] (Afro descendants) qui comme en Afrique ont forgé : Sagesse, Savoir, Pensée, coutumes et traditions ou lois.
Certains déclarent à tort ou à raison l’historique des origines des nègres ou traditions.
Pour les uns il s’agit de L’Égypte, d’autres de l’Éthiopie à savoir, nous avons affaire à des courants de création contemporaine nés en Occident, surtout des USA et dans la diaspora qu’ils prennent comme référence :
1.     D’une part des travaux de Cheikh Anta Diop qui n’ont jamais fait l’unanimité en Afrique ou ailleurs.
2.     D’autre part le constat  d’hypothèques existentielles de nos Nations Arc-en Ciel des patries caribéennes, sud-américaines, et la fondation d’un « État » qui est   toujours et encore menacée pour nos peuples y compris les Noirs aux USA   en perte des acquis :
a)     Par l’idée inouïe du rapatriement de tous les noirs en Afrique…

b)    Par l’idée reçue du racialisme extrémiste selon laquelle la Martinique serait un pays africain, un postulat mensonger, du suprématisme Noir ; « d’un racisme à rebours » qui préconise le rouleau compresseur d’éradication des autres martiniquais indiens, des martiniquais amérindiens, des martiniquais blancs (d’origine européenne), des martiniquais créoles, des martiniquais d’origine arabe, juive et chinoise et autres.

c)     Par les stratégies de remplacement dans la logique des fondations des sectes par les laboratoires de manipulation des oligarchies ou de la pieuvre.
3.     « L’Éthiopie » est devenu le pays référencé pour adoption des rastafaris, un choix effectué par eux les rastas, entendons bien, non pas par tous les africains, ressortissants des USA, de Jamaïque et d’autres ressortissants originaires de la Caraïbe et de l’Amérique du Sud.
Concernant le phénomène rastafari, un petit nombre d’adeptes ont émigré vers ce pays africain l’Éthiopie et d’autres en Israël ou d’autres dits « juifs Noirs » sont depuis marginalisés durant plusieurs décennies. Sauf pour l’Éthiopie où certains rastas sont parvenus enfin à des acquis en 2019 d’obtention de la naturalisation éthiopienne, sous la présidence d’une femme[2] Sahle-Work Zewde et d’un premier ministre musulman[3] Abiy Ahmed.
4.     En ce qui concerne des mêmes africains déportés et leur descendance qui se sont reconvertis à l’islam dans la diaspora aux Amériques, dans la Caraïbe, au Brésil ; ceux-ci relèvent d’une filiation d’antériorité d’historicité ancienne d’Afrique reconnue universellement sans aucun doute. Ces afro descendants (afrogénères) musulmans, sans abdiquer de leur marqueur civilisationnel ou religieux intègrent leur loyauté-nationalité dans leurs pays respectifs où ils se trouvent. Ceux-ci ne se renient pas de leurs ancêtres africains du continent pratiquant la religion musulmane depuis très longtemps. D’où la présence africaine musulmane aux Amériques, dans la Caraïbe, Brésil y compris des associations communautaires aux Antilles Guyane sous tutelle, dans les régions insulaires caribéennes, de l’atlantique, du pacifique jusqu’à l’océan indien.
A cet effet, le système occidental opère selon des stratégies d’occultation de l’information et de purification éducationnelle, ethnico religieuse compatibles aux projets assimilationnistes des anciens colonisateurs occidentaux des comptoirs de commerce d’esclaves surtout détenus des « colons juifs ashkénazes et yiddishophone[4]» et de leurs adeptes du nouveau colonialisme.
A savoir, les intéressés tropicaux aux commandes systémique « du devoir connaitre et savoir » ont toujours dispensé une information sélective occultant ou marginalisant « par des substituts de cultures de remplacement » pour pouvoir conditionner dans leur système les peuples de la diaspora négro africaine qu’ils s’évertuent à régir selon leurs lois étrangères vers un processus de dictature.
Nous disposons d’une panoplie de référence pour resituer les origines de la vie africaine en dehors et à l’intérieur de l’Afrique.
Cependant vu les courants communautaires de datation récente ou contemporaine :
a) Cheikh Anta Diop (né le 29 décembre 1923 à Thieytou - mort le 7 février 1986 à Dakar)
b)  De l’implantation récente aux Amériques et Caraïbe (1930)[5] des rastafaris adossés depuis au continent africain en référence à l’Éthiopie.
Nous prendrons sous toutes réserves ces références récentes à l’échelle de l’histoire du continent africain et aux quatre siècles de la présence des africains déportés aux Amériques et Caraïbes.
Il faudrait rappeler en effet diverses créations sectaires ont été prévues depuis les centres de contrôle aux USA et en Occident englobant l’Amérique du Nord au Sud y compris la Caraïbe et les Antilles Guyane sous tutelle.
L’impérialisme a toujours opéré de ses stratégies d’innovations communautaires ou sectaires destinées à contrer la progression et le développement musulman des populations africaines dans l’espace colonial occidental. Ceci deviendra un récurent problème des aspirants parmi les nouvelles élites à pouvoir exercer leur domination néocoloniale en présence d’un facteur martiniquais ou autre non dépendant.
Ces populations noires africaines appelées « mahométanes » (en réalité islamiques) ont toujours posé des problématiques d’opposition aux implantations des civilisations occidentales. Ceci est historique et daté dès les intrusions de Vasco de Gama et de Christophe Colomb, dans les régions occupées dites « du nouveau monde » depuis la reconquista espagnole contre les africains et arabo berbères maures ou les arabo-musulmans d’Espagne.
En rappelant combien leur défaite espagnole et de la Grenade (...) face à la chrétienté occidentale a rouvert la voie à l’occupation du colonialisme sur les terres des peuples premiers aux Amériques, et dans la Caraïbe. Ceci  a présidé à l’origine des génocides des indiens-amérindiens précédents concomitants à l’arrivée des noirs africains de toutes catégories confessionnelles  indifférenciées déportés de l’Afrique  continentale pour la Traite et l’esclavage aux Amériques et dans la Caraïbe où se situent les Antilles Guyane dites françaises.
Nous devrions tenir compte du fait que les gènes de la résilience et résistance des afrogénères (afrodescendants) des africains de la diaspora ne sont pas issus d’un quelconque pharaonisme ou égyptianisme dit kamitisme inhérent au système d’oppression et de la tyrannie pré-impérialiste de toujours combattue dans ces régions (l’Afrique ou en l’Orient) qui formaient un seul et même continent avant leur séparation géotectonique par des bras de mer et de terre dispersés.

Cependant dès les 14 et 15 eme siècles des africains du continent qu’ils soient animistes et musulmans sont prouvés avoir résisté farouchement contre les colons occidentaux. Nous pouvons cerner les évidences les gènes de la résilience et résistance des afrogénères (afrodescendants) des africains de la diaspora.
Ce phénomène de résistance et de résilience est le prolongement des mêmes luttes des mêmes africains déportés en esclavage aux Amériques et dans la Caraïbe, héritées de tous ces gènes de lutte, de résistance et de résilience. Ceci explique la volonté de détournement des colons et des phénomènes sectaires qu’ils initient comme folklore de déviation(kamite ou pharaonistes et autres) pour épargner les systèmes de domination capitalistes et impériaux qui entérinent de tels phénomènes d’exploitation des noirs y compris de la neutralisation des patries par les intermédiaires d’inféodés du nombre des nouveaux colons.
Ainsi les colons et leur suite tropicale aux Caraïbes ou aux USA ont-ils exercé dans l’histoire et la réalité la pratique et l’exercice politique de la théorie de l’épuration ethnico-religieuse à celle de la culture, de l’éducation, de l’histoire et de la mémoire aux seules fins d’engendrer « une culture de domesticité » comme substitut « à la culture de gouvernement » inhérente aux civilisations quelles soient animistes ou musulmanes ou chrétienne orthodoxes des fils et filles africains de la diaspora.
Au départ dès la descente des cales des négriers aux structures tutélaires installées jusqu’à nos jours, cette sélection épuration ethnico-religieuse, de la culture, de l’éducation, de l’histoire et de la mémoire concernait les croyances religieuses indifférenciés (animistes, musulmane, théologie chrétienne orthodoxe de libération) fondatrices des lois ou constitutions opposables au système européen du colonialisme.
 Cette problématique de sélection exclusion concernait ces civilisations susmentionnées puisque rebelles qu’elles soient animistes et surtout musulmane à l’instar des West-indies Trinidad Tobago, Guyana, St Vincent, Grenade, et autres, aux USA et en Amérique du Sud. Les africains ressortissants de ces visions étaient considérés comme impropres à être un objet de consommation du système de « colonisabilité » selon l’expression du savant Malek Benabi d’origine algérienne.
De là à faire comprendre les mobiles du crime contre l’humanité et à qui profite le processus de re-fonderie de la personnalité, de remplacement ou du déni de l’altérité africaine et confessionnelle des professionnels kamites et afrocentristes au service des oligarchies impérialistes et de la pieuvre ?
 Selon l’entité suprématiste discriminatoire il a fallu inventer le soi-disant « barbare ou damné de la terre » ; les gentils ou goys : selon l’acception élitiste aux origines talmudiques. Cette version relative au nationalisme jacobin franco-euro ou napoléonien correspondait à   ceux d’êtres stigmatisés de « non humains » ; non possesseurs « d’âme » contrairement aux élitistes talmudiques « Supérieurs ». Par conséquent une catégorie « d’intouchables » qui devaient être baptisés, « civilisés » selon les normes et apostoliques romaines, baptistes et par ailleurs laïques, dès l’ère de l’école julférienne.
Aussi ici et là ont été détectées les idées des « lumières » ; ce pour quoi certains humains devaient ou mourir ou être civilisés… Il s’agit là encore, d’un autre aspect de ladite purification ethnico religieuse, de purification éducationnelle de la mémoire… Ce à quoi par intérêt et mimétisme, certaines élites tropicales contemporaines néocoloniales sont encore attachées. Lesquelles ont avalisé pour elles-mêmes et nous autres ; ce qui s’appelle « la transmission de la connaissance et du savoir ». Alors qu’il est question d’éléments équivoques ; d’œuvres occidentales contradictoires : dites chrétiennes et laïques»…
Nous sommes dans un dilemme de déconstruction  coloniale  occidentale par retransmission de l’arbitraire de la contrainte couplée de la force amorale capitaliste usitée au profit de propagation d’une éducation pseudo nationale européenne d’assimilation et de soumission à perte d’identité …

Nous devrions rester prudents, et objectifs concernant des recherches sur la civilisation africaine continentale et  dans la diaspora et les relations existantes entre les théories du suprématisme « blanc » ou « noir » désignées des nouveautés suspectes  d’origine occidentales de « l’afrocentricité » ou du moins de l’égyptianisme, du kamitisme y compris des innovations sectaires chez les noirs de la diaspora aux USA et aux Caraïbes.
 Sachant qu’il existe derrière les innovations sectaires telles que susmentionnées les mêmes volontés suprématistes « noires » ou « blanches ».
 Nous comprendrions l’origine de ces innovations sectaires, de là où elles sont issues d’un même socle talmudique et « élitiste d’un « soi-disant peuple élu ».
 Il s’agit d’un impérialisme racialiste ou « nouvel apartheid de la pieuvre identifiée »…ou négationnisme qui correspond à un projet tyrannique ou pharaonique.
 Cette tendance se manifeste des impuretés des intentions présentes chez certains qu’ils soient : « Noir ou Blanc ». Ce dont la raison éclairée juge évidemment contraire à la mission dévolue à la race humaine et du vivre ensemble en faisant abstraction du racialisme, du racisme au profit de l’équité et du partage à profit social humain...
Tout ceci constitue des déviations de la civilisation humaine qu’elle soit africaine ou non. Car il est d’évidence qu’un esprit normatif ne peut considérer comme profitable de propager les aberrations de ce genre qui sont des maladies épidermiques et déviances de la raison.
Sachant que interviennent « la force amorale » : mépris, condescendance assimilation et persécutions. Ce genres de maladies humaines provoquent des conflits calamiteux reliés aux penchants morbides et mortifères du racisme, du fascisme, des diktats de l’intolérance de mise à l’index aboutissant aux persécutions des uns par les autres y compris des majorités par les minorités raciales , ethniques, religieuses et vis et vers sa.
 Qu’il s’agisse « de l’homme blanc ou noir » nous ne considérons pas comme des coutumes, des traditions ou des civilisations les idées et pratiques d’aucuns des suprématismes racialistes.
C’est la raison pour laquelle dans l’étude, nous ne reprendrons pas en compte au titre de culture et civilisation africaine : les courants extrémistes du racialisme (de « l’afrocentricité » ; de l’égyptianisme, du kamitisme) comme facteurs de civilisations pour étudier sur le continent et dans la diaspora africaine nos relais coutumiers, des traditions, culturelles, concernant les civilisations africaines dans la réalité objective positive du monde.

Sachant la provenance des recrudescences sectaires des USA aux Amériques et leur mobile de développement ou de propagation, il serait erroné en conséquence de valider les stratagèmes des sectarismes effectués au dépends des civilisations africaines et caribéennes ou sud et nord américaines.
En effet il est dans le viseur de nos civilisations agressées ; ceux-là mêmes qui depuis Champollion et Napoléon jusqu’au partage de l’Afrique à la Conférence de Brazzaville ont balkanisé notre continent : fractionné, de frontiérisme ou du nationalisme occidental jacobin.
Leur partage, la division du Proche et Moyen orient ont été faits de même avec le Congrès mondial des Balfour (…) y compris des généraux Mac-Mahon, Syses et Picots , de l’Angleterre et au profit de tous les colonisateurs d’Occident y compris de la pieuvre de Palestine ou mondiale.

Aussi ce qui réunit nos destins de l’Afrique, l’Orient et la diaspora aux Amériques et dans la Caraïbe n’est ce pas ce combat ?
Cette lutte Sud-Nord nous assemble et rassemble alors que les objectifs impérialistes racialistes des suprématismes « Blanc et Noir » veulent les annihiler et détruire de leurs stratagèmes sectaires et innovations colonialistes : diversions sur l’Afrique, l’Égypte ou l’Orient pour le conflit ?

Il ne s’agirait que de contres- exemples racialistes et sectaires  ou d’un racisme à rebours à déconseiller par expertise comme des vecteurs usités des brouilleurs de consciences néfastes aux éléments africains  reconstructeurs sur le continent et dans sa diaspora de nos authenticités unionistes regroupant l’unité et la tolérance qui font l’organisation prometteuse de libération africaine et de la diaspora dans la lutte globale Sud-Nord.

Quels sont les mobiles des innovations de l’anthropologue sénégalais Cheikh Anta DIOP en rapport au scénario du nationalisme noir suprématisme camouflé d’un jacobinisme ou napoléonien « racialiste Blanc élitiste » ?

Dans son choix de Sénégalais « croyant » qui choisit pour des raisons « instinctuelles »  un autre programme de plus haute facture de dorer la blason de la civilisation pharaonique, au détriment celle des protagonistes Moïse et autres avatars anciens et contemporains ligués contre  tous les despotes et tyrans d’outre tombe.  La démarche de l’anthropologie de la truelle orientée dans ce sens dans une culture africaine fécondée de la connaissance de l’Invisible ou de l’agent moteur et du docte pose autant de problèmes qu’au croyant africain qu’au scientifique indifférencié ! A qui profite l’inversion vers la primauté du matérialisme de recherche de l’identité africaine dans la corporéité incarnée de la tyrannie pharaonique, égyptianiste ?
 Cette démarche de la recherche même si le chercheur s’en défend est connotée contre productive… Aussi argumentée et savante soit-elle ; cette dite recherche pose problème sur les mobiles de créer une orientation rivale, aux valeurs immatérielles de la vision non antagoniste ; de par Cheikh Anta DIOP et SON racialisme incarnée dans les postulats pro-égypto-pharaoniques du scientifique.
Alors Cheikh Anta DIOP « musulman « anthropologue » n’est-il que l’ombre ou son contraire ? Sous d’autres facettes obscures au profit de quoi sert-il l’apostasie égyptianiste, pharaonique et kamite ?.. Puisqu’en effet ce même Cheikh Anta DIOP se fait prosélyte du pharaonisme ; et qu’il s’efforce de convaincre les noirs africains de se rallier à la civilisation antagoniste du pharaonisme ; de là où il cherche à faire remonter à tort ou à raison la civilisation africaine…
A partir de cette rupture, Cheikh Anta Diop a-t-il choisi de lever le socle d’une boite de pendoir,   fondée sur un nationalisme noir, élitiste, basée sur la truelle de l’archéologie. La démarche apostâtes diopienne pour peu qu’elle soit universellement reconnue n’a aucun lien et rapport avec les fondamentaux immatériels de la civilisation traditionnelle, de ce peuple non –européen qu’est notre peuple africain, ni ceux de l’Orient et des peuples non européens dont les croyances sont notifiées de l’histoire empirique des civilisations…
Cette histoire empirique des civilisations se réfère non aux antivaleurs matérielles, mais à l’existence pérenne de la transcendance, de ses transmissions immatérielles de l’abstrait (l’invisible) que ne peuvent concrétiser le matérialisme et l’anthropomorphisme de la corporéité de sarcophages, momies, pyramides,,statuts d'idoles périssables…  Ce matérialisme égyptologique est facture de religion fausse, déguisée de croyances pseudo spirituelles. Cette imposture ne symbolise pas du tout la vision des civilisations vraiment africaines mais celles des civilisations non africaines : (grecques, romaines occidentales) en déclin à l’instar de la civilisation égypto-pharaonique d’une rupture. Ce qui induit logiquement à s’interroger si les « égyptiens anciens » à l’instar des pharaons de référence kamites de ladite « afrocentricité égyptianiste étaient vraiment africains ; qu’en terme d’une imposture qui les rendait impropres à être des nôtres ; contrairement à ce dont Cheikh Anta DIOP et ses émules d’apostats veulent nous faire croire ?
 L’Afrique vraie est non du « matérialisme » mais vivante de ses rapports à la transcendance et non à la mélanine (matérialisme, peau noire ou blanche) de cette corporéité éphémère , ou illusoire, limitée vouée à l’extinction ou caducité à l’instar de la civilisation pharaonique et autres.
 L’Afrique ou l’Orient s’est doté de leur base (terre à terre sociétal) vers la transcendance, d’une civilisation fondée sur des lois, des traditions, des coutumes et modes de vies.
 La civilisation authentique africaine ou orientale reliée à cette TRADITION est opposée diamétralement aux ruptures et déviances de la civilisation égyptianisto-pharaonique controversée à laquelle se sont rattachés « l’afrocentricité et ses variantes d’un sophisme kamite ». Tels les folklores financées des laboratoires de manipulation, inaugurés par procuration dirions nous de l’anthropologie truelle  occidentale de Cheikh Anta Diop ou autres déviances de cette école.

Personne n’est censé ignorer les ressorts délictuels la civilisation égyptianisto-pharaonique. Il s’agit du contresens signifiant le summum de l’impérialisme et des turpitudes des iniquités- tyrannies ou diktats fascistes.
Tout ceci a-t-il inspiré l’Europe de la Rome impériale à la révolution française jusqu’à la fondation du nationalisme extrémiste jacobin élitiste des « élus » à l’origine des calamités des ruées vers les terres dites vacantes.
A un tel système se réclament encore de nos jours les oligarchies, le nouvel ordre mondial, le capitalisme monopoliste de la finance apatride et de ses corollaires de la " pieuvre mondiale".
Tous ces processus ont réitéré des formes d’esclavages pharaoniques et des empires coloniaux copiées conformes à l’expansionnisme des pharaons et de leur processus dits de « civilisations » anéantis ; mais dont se réclament aujourd’hui aussi bien des émules cheikh anta-diopiennes, que des pires oligarchies. Lesquels ont tous en commun leurs mission des mêmes arguments et sophismes matérialistes, anthropologiques, archéologiques de truelle, mathématiques et autres argumentaires à dessein de ressusciter aux dépens des africains et de leur continent et de la diaspora : mythes et religions caduques comme obstacles et déviances à libérer le continent africain et sa diaspora de tels pièges ou aberrations systémiques.
A cette civilisation caduque, et disparue à sa date historique de préemption elle a été remplacée par d’autres actuelles vivantes et autres d’une utilité pérenne au développement de l’humain universel pour rompre avec les déséquilibres de toute nature mettant en péril l’humanité par le désordre, l’injustice, la corruption sur terre, les inégalités par l’accaparement  des « élus » pour la dépossession et les rackets des droits  ou des biens,  des uns et des autres…

Toutes ces innovations anthropologiques du chercheur Sénégalais soi –disant musulman Cheikh Anta DIOP infirment cette appartenance codifiée de principes immuables éternels du convenable réfutant la blâmable.
Les productions dérivées des émules ou d’AFRICA’MAAT alimentent les laboratoires et universités occidentales, issues des projets et stratégies de remplacement des oligarchies.
Ces institutions veulent la faire croire, à travers les travaux et productions d’intellectuels occidentalisés à charge des centres cybernétiques occidentaux, à la validité racialistes des innovations mélaninoïdiques[6] ou des idéologies racistes à l’instar du nationalisme jacobin ou napoléonien nés en occident tirés de l’idéologie élitiste talmudique ou du « peuple élu » ; dont certains racialistes nationalistes extrémistes noirs vont se faire les promoteurs depuis l’occident.


Pôle Afro Eurasie de la Pensée Caribéenne.



[1] Afrogénère néologisme de l’auteur concerne celui qui a des gènes africains quel qu’il soit.
[2] Pour la première fois, l’Ethiopie a une femme présidente Sahle-Work Zewde a été désignée à l’unanimité par les parlementaires, en remplacement du président démissionnaire Mulatu Teshome.Le Monde avec AFP Publié le 25 octobre 2018 à 12h21 - Mis à jour le 26 octobre 2018 à 06h39

[3] Entré en politique en 20104, Abiy Ahmed est brièvement ministre des Sciences et des Technologies de 2015 à 20166.
Élu à la tête de l'OPDO le 22 février 20187, puis à la tête de la coalition au pouvoir, le Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien(FDRPE), le 27 mars de la même année8, il succède à Haile Mariam Dessalegn, démissionnaire, au poste de Premier ministre le 2 avril 20189.

C'est la première fois que l'ethnie des Oromos (majoritaire dans le pays) est représentée à la tête du pouvoir. Sa confession religieuse ainsi que ses origines sont parfois perçues comme un « atout » dans le besoin de fédération du pays2. (Réf/ Wikipédia).



[4] Pierre Davidas E3ditions Antilla Fort de France  1984 :« Ce que je Dis du Sionisme »
[5] Le mouvement rastafari (ou « rasta ») est un mouvement social, culturel et spirituel qui s'est développé à partir de la Jamaïque dans les années 1930. (Réf/ Wikipédia).

[6] En rapport avec la pigmentation de la peau noire.

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