vendredi 7 juin 2019

Martiinique Les notions de compère Lapin Juristiques '" L'ESCLAVAGE JURIDICTIONNEL ET UN QUARTERON INFILTRÉS


SYANS POLITIK BOKAY : 
ARTICLE DÉDIE EN  HOMMAGE
 A  FANON ET MAÎTRE MARCEL MANVILLE



Hommage à feu FRANTZ FANON alias Omar Ibrahim et  Maître Marcel Manville et réfutation de « l’esclavage juridictionnel » pratiqué d’un quarteron d’infiltrés au barreau.
Des éléments en provenance de sectes racialistes (afrocentristes, kamites, égyptianistes, pharaonistes ou noiristes ont-ils infiltré le barreau en utilisant leur cursus et leur titre (doctorants juristes) pour substituer la politique politicienne au droit. Ceci à origine des dérives ou équivoques au regard de la sacro sainte prestation de serment relative à la déontologie de l’avocat ?
Qu’est ce que l’esclavage juridictionnel?
Le constat a été fait en rapport aux désagréments dont ont été victimes des justiciables non conscients de ce phénomène pratiqué par un certain quarteron de juristes en Martinique.
Des individus qui sous couvert de leur fonction de juriste utilisent la politique ou le confessionnalisme afrocentrique.
Ainsi ce type d’avocat cherche à trouver parmi les personnes non averties : des citoyens ordinaires et certains militants politiques et syndicaux ; ceux qui deviendront leurs « esclaves juridictionnels ».
Aussi inconsciemment ou non des victimes paient ce tribu « de l’esclavage juridictionnel » sont bien souvent des personnes victimes qui se laissent faire ne disposant pas des moyens financiers pour rétribuer les honoraires des avocats.
Il y a un conditionnement et l’idée que s’est faite une  certaine clientèle sous influence ou subjuguée d’être dispensée de payer ipso facto des honoraires...
Toujours selon ou l’idée d’une telle fréquentation équivoque d’avocats promoteurs de sectes politiques racialistes laissent croire à cette clientèle devenue « rapprochée de la secte politique de confessionnalité acrocentrique » qu’elle serait dispensée du paiement des honoraires de ce genre d’avocat. (En échange de quoi ?)…
Ainsi l’esclavage juridictionnel induit un dysfonctionnement de la relation contractuelle entre le client et l’avocat.
Puisque cette équivoque contractuelle contredisant la déontologie transforme « les droits et devoirs du client et ceux de ce genre d’avocats ». En l’absence du contrat qui respecte les intérêts du client et de l’avocat. C’est la complicité liée au confessionnalisme ou du militantisme politique raciste et racialiste d’affiliation qui annihile les droits et devoirs légaux et réglementaires des deux paries au profit ce qu’il convient de stigmatiser de promiscuité idéologique religieuse ou politique racialiste. Alors « l’esclavage juridictionnel » transforme l’avocat en mentor ou gourou et le client devient « Zouave « ou rabatteur sectateur esclave complice de cet type de juriste ripou.
Selon son l'acception légale toute défense juridique s’établit du contrat entre l’avocat et son client sanctionné par l’obligation de compétence de la défense ou de l’accusation en contre partie du versement légal des honoraires dus.
Ce type de contrat exige la solvabilité du client, ou l’aide judiciaire le cas échéant et d’autre part l’intégrité morale et la loyauté de l’avocat assermenté pour son rôle juridique et ses compétences à traiter le dossier et l’affaire du client.
La complaisance ou la corruption dont il est question infirme l’exigence d’intégrité de l’avocat. Cette intégrité de l’avocat est remise en cause lorsqu’il se sert du client comme instrument sectateur ou rabatteur susceptible de servir ses intérêts confessionnels, politiques et racialistes.
La relation en rapport au statut du client est de même compromise dès lors que lui aussi se sert de l’avocat dans la même promiscuité confessionnelle, racialiste et ou politique. Pour que l’avocat lui dispense par complaisance du paiement des honoraires et que le client aspire lui aussi à en être complaisamment dispensé de payer les honoraires étant dus.
Ce type de rapport entraîne de facto la péremption contractuelle qui devrait s’établir légalement entre l’avocat et le client. En l’état toutes les brèches, abus sont impliqués en rapport aux difficultés présentées sur un tel dossier de la clientèle en fonction des distorsions inhérentes à « l’esclavage juridictionnel »…
Le client qui peut être simple citoyen ou militant syndical ou politique perd la main sur son affaire et dossier de ce fait risquant son libre arbitre et sa ligne directrice décisionnelle ; ceci certes, entraînant ,des préjudices de déviation s’il s’agit de la liberté de jugement indépendant pour un homme libre ou pour un militant politique ou syndical « indépendant « devenu inféodé il risque également son intégrité politique, syndicale et ses propres positions intrinsèques quelles quelles soient.
S’agissant de ces pratiques connotées comme susmentionné d’un quarteron de juristes en contravention à la déontologie de l’ordre des avocats, et de leur serment prêté, celles-ci sont susceptibles d’interpeller :
En plus de l’Ordre français des avocats français et européens mais aussi des avocats internationaux, ceux de l’ONU ou de la CPI, y compris les juridictions compétentes de L’UE (Union Européenne) ; ceux de la défense des droits humains et de la charte onusienne subséquente.
Considérant les valeurs et la sérénité de la profession d’avocat, leur serment et déontologie qui peuvent être compromis des agissements des formes de « délinquances juristiques » relevées. De plus des infiltrations du barreau des éléments racialistes du prosélytisme politico confessionnels afrocentristes, égyptianistes, kamites et Hotepistes y compris adeptes féodaux à titrés despotiques, s’achetant des titres royalistes noiristes d’Afrique par opportunisme raialiste.
Considérant la nocivité de telles dérives au regard de la sacro sainte prestation de serment ou déontologie de l’avocat.
Nous reviendrons pour l’actualisation des informations sur le constat des préjudices au contrat de défense par le biais de nombreux témoignages de victimes martiniquaises.
Comment éviter pour le citoyen ou le militant politique ou syndical de succomber à « l’esclavage juridictionnel » pratiqué par le quarteron  d’avocats controversés ?
Rappel aux citoyens, militants politiques et syndicaux en rapport à la noble fonction de l’avocat et l’importance de payer les avocats de leurs honoraires dus, en dehors de toute autre considération religieuse racialiste et ou politique…
En conclusion feu Maitre Marcel MANVILLE qui a porté au sommet l’intégrité de l’avocat ne lui devons nous pas un hommage en ces temps du règne de la confusion de l’esclavage juridictionnel ?
MORENO
 PARTIE II
MARTINIQUE LE RACIALISME AFROCENTRIQUE & LA CONFUSION DE L’ESCLAVAGE JURIDICTIONNEL ? (À SUIVRE LA 3EME PARTIE )
PARTIE 2 PRÉAMBULE À NOTRE HOMMAGE À FEU MAITRE MARCEL MANVILLE QUI A PORTÉ AU SOMMET L’INTÉGRITÉ DE L’AVOCAT NE LUI DEVONS NOUS PAS UN HOMMAGE EN CES TEMPS DU RÈGNE DE LA CONFUSION DE L’ESCLAVAGE JURIDICTIONNEL ? (À SUIVRE PARTIE 3 )
CONSTAT DES PRÉJUDICES AU CONTRAT DE DÉFENSE
Nous faisons état de nombreux griefs de personnes victimes de ces pratiques et qui se doivent par notre expertise « Syans Politik Bokay » comprendre ce qu’est cet « esclavage juridictionnel » dont ils se sentent victimes.
Cette clientèle « opprimée, fourvoyée » par cette pwofitation décline quelle est victime « de l’incompétence caractérisée de ce quarteron de juristes racialistes et racistes plus imprégnés de la pharaonologie que du respect de l’humanité des victimes martiniquaises.
Le « laxisme » mentionné de cette pratique de « l’esclavage juridictionnel » a pour conséquence que l’avocat oublie de se présenter aux audiences du tribunal bafouant le dossier juridique de tel ou tel client inféodé. Certains dans ce cas n’assurent pas en ce trompant le suivi et la défense de la clientèle.
Dans une telle confusion le client désemparé perd toute confiance dans la logique de la défense de son affaire et toute visibilité juridique sur son dossier et susceptible de perdre son procès…
Lors de la prise de conscience du client des préjudices qui peuvent être l’objet d’une rupture du consensus de complaisance imposé par « l’esclavage juridictionnel ». Le client en retour peut être victime des représailles par délinquance juristique ; laquelle s’exerce de différents procédés coercitifs contre le client dissident qui tente de reprendre sa liberté ou son libre arbitre.
Certaines représailles se font, en sachant que le quarteron d’avocat connait le patrimoine de son client ; certains clients sont taxés sur leurs biens immobiliers d’entourloupe de captation de biens…
Ceci va de la spoliation mobilière ou immobilière à l’encontre du client dissident opposant son refus à « l’esclavage juridictionnel » allant dans certains cas aux préjudices inhérents à des nuisances physiques de l’entrisme de nuisance par le biais dans l’immixtion dans les propres affaires familiales de la clientèle.
Dans les annales de cette délinquance juristique nous avons le cas d’un martiniquais de St Luce victime de telles pratiques et qui sera atteint d’un « scandale familial » et emprisonné alors qu’il s’agissait d’un activiste militant victime de son zèle qui était vulnérable du fait qu’on savait en haut lieu qu’il procédait à l’occupation du foncier de latifundistes qui avaient les moyens de le faire condamner par le truchement d’affinités juridictionnelles.
D’autres clients y compris des personnes âgées se plaignent en rapport avec cette incurie du fait que ces retraités aient été déboutés victimes de la perte de leur procès.
Lors d’une réunion de l’association du gros morne présidé par un professeur de droit enseignant à la retraite animateur d’une assemblée au Carrefour Mao dans la commune du Lamentin destinée à renseigner aux justiciables leur droit et de s’opposer aux abus de la Justice. Des assistants à cette assemblée ont conspué le prononcé du nom d’un certain AVOCAT du quarteron racialiste incriminé ; pour convaincre LE COMITE DE DEFENSE DE L’IMAGE et son président présent à cette assemblée : « de ne jamais recourir au ministère de ce genres de d’avocats racialistes afrocentristes « que les assistants déjà victimes de leurs pratiques ont dénoncés l’un des leurs « en langue créole « Cé AN COCHONY » (en français une ordure).
Un autre cliente victime de ce type d’avocat a déclaré au séminaire organisé à la mutualité à Fort de France en 2017, au prononcé du nom de cet avocat « Surtout pas lui » une manière solennelle et publique de le désavouer et prévenir l’assistance sur ses pratiques reprochées de la clientèle victime.
La communauté haïtienne en Martinique a fait l’objet de pratiques d’exploitation pécuniaire de certains de ces avocats du quarteron controversé. Des pasteurs et leurs communautés durent payer par des souscriptions 1000 à 1200 euros pour des « sans papiers haïtiens reconduits dans des zones de rétention administrative. E n sachant que les juristes en question bénéficiaires des dites sommes savaient que leurs clients d’infortune serait malgré tout expulsés du département… ceci de l’aveu de pasteurs haïtiens en connaissance de cause de cette pwofitation organisée...
Nous avons le cas avec un témoin rendu au cabinet à Fort de France d’un de ces avocats pour la défense dans le cadre d’un Comité de Défense International en faveur d’un français d’origine algérienne expulsé de France au BURKINA FASSO en 1992/93 actuellement libéré (faute de preuve après plus de 20 ans d’internement du régime de Charles PASQUOI). La réponse du dit avocat racialiste justifiait sa non participation au comité de défense. Ce soi-disant juriste a fait devant témoins la déclaration selon laquelle: « Il se refuse de défendre un algérien qui est un blanc et de la religion de « blancs »… En fait des propos racialistes et racistes qui s’avèrent incompatibles à la déontologie et au serment d’avocat .
CONCLUSIONS COMMENT EVITER « L’ESCLAVAGE JURIDICTIONNEL » ?
Rappel de Syans Politik Bokay à l’attention des militants politiques, syndicaux et justiciables ordinaires
La condition sine qua non d’éviter le piège de « l’esclavage juridictionnel » exige de s’efforcer d’être indépendant et libre et de pratiquer le jugement indépendant dans nos positions citoyennes, de militants syndicaux et ou politiques.
Il est un devoir d’indépendance financière ou du recours à l’aide juridictionnelle le cas échéant pour les plus démunis, même en rapport à des problématiques juridiques de réticence à l’aide de la tutelle judiciaire administrative. Il vaut mieux l’aide juridictionnelle de l’État que d’être piégé « de l’esclavage juridictionnel » du quarteron d’avocats racialistes et afrocentristes ; vu les préjudices et les dégâts collatéraux sans garanties pour le client.
Il est un devoir d’être en retour, un Homme véridique et intègre dans ses positions citoyennes ou militantes pour ne pas céder aux chants de sirène démagogiques de « l’esclavage juridictionnel » pratiqué sous couvert du militantisme afrocentrique infiltré au barreau par les centres de manipulation extra nationaux, que certains novices ne soupçonnent pas !
En fait il faut éviter d’être pour une raison ou autre, ce ceux qui trompent le peuple car celui qui trompe le peuple n’est pas du peuple.
PAYER LES AVOCATS
Payer les avocats de leurs honoraires est une obligation du client pour éviter le recel et la complicité « d’esclavage juridictionnel » ou de s’affiler aux pratiques de rabatteurs racialistes, kamites ou pharaonistes contre ses propres citoyens et son peuple.
Il est une obligation de rétribuer les avocats ; être un avocat à l’instar de feu MAITRE MARCEL MANVILLE ou des Avocats intègres de France ou d’Europe : y compris de ceux des Gilets jaunes pour ne pas nommer Maitre JUAN BRANCO , François BOULOT , COLLARD et autres. C’est qu’être AVOCAT est incontestablement une noble fonction, un noble métier qui nécessite des décennies d’études pour un labeur sacerdotal de défense des intérêts du client et de la société. Ceci dans la norme exclut toute ces formes de délinquances tels que : « l’esclavage juridictionnel » en rapport au racialisme afrocentrique et ses dérives racistes kamites ou paharaoniques.
L’Avocat ne doit pas exploiter le client à ses fins racialistes et politiques peu recommandables. Celui-ci ne doit pas rompre le sacerdoce du serment prêté et la déontologie ou de se servir du client (citoyen ou militant) pour dévier son indépendance de jugement , ses positions fondamentales afin de se le rallier et se l’approprier aux fins racialistes afrocentriques.
Lui le client ne doit pas se servir lui aussi de l’avocat et de l’utiliser pour faire de la « politique ». Si le client n’a pas les moyens de rétribuer les honoraires de l’avocat il doit faire appel à l’aide juridictionnelle ou à la souscription de ses proches parents , par exemple des appels de fonds au peuple pour la bonne cause…

 NOTRE OBSERVATOIRE SYANS POLITIK BOKAY RETIENT CE QUI SUIT :
Il convient de dénoncer le caractère néfaste des procédés de d’entrisme d’avocat racialiste ou quarteron de juristes qui confondent la fonction assermentée de défense juridique avec les pratiques « d’esclavage juridictionnelle » à l’origine des déviations, des embrouilles et des désagréments dont certains citoyens victimes n’ont de cesse de subir et de dénoncer.
Il faut noter les représailles injustifiées et les préjudices subis de ceux qui rompent avec « l’esclavage juridictionnel » avec les conséquences sur leurs biens et patrimoines à cause des rapines et appropriations constituants des dégâts collatéraux concernant les personnes victimes.
Dans l’évolution des situations il faut s’attendre à cause des relations contractuelles « clients avocats » qui sont corrompues les ruptures de part et d’autre.
Le client doit-il en définitive se méfier et se prémunir de ces avocats prosélytes du racialisme afrocentrique qui brisent de leur fait, le contrat de défense et qui ne garantirait plus le client tombé dans le piège de complaisance relationnelle privative du paiement des honoraires de l’avocat.
Peut-on parler de racket et de racolage de la conscience du client : simple citoyen, militant politique ou syndical qui aurait de ce fait perdu sa voie optionnelle fondamentale, sa ligne positionnelle et son intégrité citoyenne ou militante.
Le client dans de telles circonstances est réduit en Martinique dans ces conditions « d’esclavage juridictionnel » au viol de sa conscience, de son intégrité politique, citoyenne et ou spirituelle (chrétienne, athée ou non) puisque devenu ipso facto tel l’esclavage livré au main du laveur de cerveau… de tels avocats racialistes et tendancieux sont réputés très dangereux pour la société martiniquaise, son avenir et son vivre ensemble citoyen de toute origine ethnique.
MORENO


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