SYANS
POLITIK BOKAY ESSAI POUR UNE DECONSTRUCTION COLONIALE
POLE AFRO EURASIE DE LA PENSEE CARIBEENNE
Manifeste LOULOU PULVAR (père de la nation
martiniquaise)
"Mouvement Indépendantiste Martiniquais-(
de la parole au peuple ZENTRAY Loulou Pulvar"
Au nom de la patrie martiniquaise, de l’esprit de
nos ancêtres amérindiens de Wanakaéra, Afrikains et Indiens renouons et imposons la vérité du mouvement fondamental patriotique
de notre peuple par le présent manifeste
Loulou Pulvar (père de la Nation) -
Mouvement Indépendantiste Martiniquais de la parole au peuple épuré et
réformé comme mentionné ci-dessous:
1- du DOL d’illégitimité
instituant la dépendance, d’un organe indépendantiste patriotique , relative à l’aliénation d’une tierce législation coloniale et ou
néocoloniale rivale (…)
2- d’incompatibilité
nationalisto-patiotique en date de 1970-
de part l’illégitimité du précédent d’aliénation
d’un organe indépendantiste par un conflit juridictionnel structurel en rapport avec
ladite tierce législation coloniale et néocoloniale
rivale se devant être régularisé du
correctif, épurant le mouvement
indépendantiste patriotique en le normalisant comme suit :
·
a) PRIMO de par l’acronyme rénové du « Mouvement Indépendantiste
Martiniquais (M.I.M.) de la
parole au peuple Zentray Loulou
Pulvar »
b) SECONDO de par la
légalité NATIONALE MARTINIQUAISE ET INTERNATIONALE de La charte des nations Unies
et le principe juridique de
l’autodétermination et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
stipulé ci-contre
·
c) TIERSO : de par la VERITE confirmée des luttes de nos ancêtres
de plus 400 ans et de la poursuite jusqu’au parachèvement, du combat de notre peuple depuis la déportation de
l’Afrique mère aux Amériques étant le
nouveau champs d’application de notre mission d’institution des nouvelles
civilisations afro caribéennes et américaines de par notre vocation de nations réformatrices ou créatrices de nouvelles
constitution civilisations.
Sortons de la tromperie de la
kouyonade indépendantiste et des rituels
commémoratifs contreproductifs néocolonialistes
TITRE 1-PREAMBULE
Vu l’autodétermination des peuples comme principe juridique[1]
« Selon Le
principe du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes a acquis depuis son
inscription dans la Charte des Nations Unies, qui en a fait un principe
fondamental du droit international, une dimension juridique qu'il faut se
garder de minimiser en invoquant sa non application, l'interprétation
restrictive que certains publicistes lui donnent ou l'absence d'une procédure
spéciale assurant sa mise en œuvre. Le droit des peuples à disposer
d'eux-mêmes, comme les droits de l'homme, est engagé dans un lent processus
d'effectuation dont la validité et le caractère impératif ont leur fondement
dans la conscience internationale. “
Vu La Charte des Nations UniesChapitre
IX
CHAPITRE
IX : COOPÉRATION ÉCONOMIQUE ET SOCIALE INTERNATIONALE
Article 55
En
vue de créer les conditions de stabilité et de bien-être nécessaires pour
assurer entre les nations des relations pacifiques et amicales fondées sur le
respect du principe de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à
disposer d'eux-mêmes, les Nations Unies favoriseront :
a. le
relèvement des niveaux de vie, le plein emploi et des conditions de progrès et
de développement dans l'ordre économique et social;
b. la
solution des problèmes internationaux dans les domaines économique, social, de
la santé publique et autres problèmes connexes, et la coopération
internationale dans les domaines de la culture intellectuelle et de
l'éducation;
c. le
respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales
pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion.
Article 56
Les
Membres s'engagent, en vue d'atteindre les buts énoncés à l'Article 55, à agir, tant conjointement que
séparément, en coopération avec l'Organisation.
Article 57
1. Les diverses institutions spécialisées
créées par accords intergouvernementaux et pourvues, aux termes de leurs
statuts, d'attributions internationales étendues dans les domaines économique,
social, de la culture intellectuelle et de l'éducation, de la santé publique et
autres domaines connexes sont reliées à l'Organisation conformément aux
dispositions de l'Article 63.
2. Les institutions ainsi reliées à
l'Organisation sont désignées ci-après par l'expression « institutions spécialisées ».
Article 58
L'Organisation
fait des recommandations en vue de coordonner les programmes et activités des
institutions spécialisées.
Article 59
L'Organisation
provoque, lorsqu'il y a lieu, des négociations entre les États intéressés en
vue de la création de toutes nouvelles institutions spécialisées nécessaires
pour atteindre les buts énoncés à l'Article 55.
Article 60
L'Assemblée
générale et,
sous son autorité, le Conseil économique et social, qui dispose à cet effet des
pouvoirs qui lui sont attribués aux termes du Chapitre X, sont chargés de remplir les
fonctions de l'Organisation énoncées au présent Chapitre.
Vu
l'article 1 § 2 de la Charte
Puisque
le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes est
consacré par l'article 1 § 2 de la Charte et par
l'article premier des deux Pactes internationaux
relatifs aux droits de l'homme, les États doivent donc «
s'abstenir de recourir à la menace ou à l'emploi de la force contre un peuple revendiquant
l'exercice de son ...
Vu le
constat d’institutions aux USA sur la fabrication artificielle du COVID
Vu le principe
de précaution et les requêtes en suspicion
des autorités aux USA les
origines du COVID
Considérant les
motifs en raison des enquêtes des autorités du département d’état américain
diligentés sur le COVID[2]
« Covid-19: pourquoi les États-Unis ont lancé une enquête sur
l'origine de la pandémie
29 mai 2021ÉDIT PHOTO,EPA
Légende image,
Le président Biden a demandé aux agences de
renseignement de lui faire un rapport dans les 90 jours sur l'origine du virus.
Le président américain Joe
Biden ordonne aux responsables du renseignement de "redoubler"
d'efforts pour enquêter sur les origines du Covid-19, notamment sur la théorie
selon laquelle il proviendrait d'un laboratoire en Chine ».
TITRE 2
COVID & DICTATURE COLONIALE ET CONTINUITE D’OCCUPATION TERRITORIALE
Considérant :
que la
production du COVID de la même manière que le « PASSE SANITAIRE » et l’obligation
vaccinale servent de moyen de chantage post élections régionales françaises, en
mode échec pour le parti de la macronie politique dit « LA REPUBLIQUE EN
MARCHE » ;
Considérant :
qu’il est dénoncé l’imposition d’une dictature luciférienne du néolibéralisme qui opprime les populations, en exerçant dans la continuité d’occupation territoriale coloniale française en Martinique, Guadeloupe Guyane et insulaire : des moyens de chantage, couvre feu, confinement outrancier, à titre de représailles et ou de vengeance contre les masses martiniquaises, guadeloupéennes, guyanaises, des colonies insulaires et de l’hexagone, des Gilets jaunes et des déshérités, la classe ouvrière, et aussi contre la bourgeoisie française, de leurs classes ou milieux sociaux qui ne peuvent accepter en temps de paix les restrictions de libertés constitutionnelles.
UN RECOURS INDEPENDANTISTE MARTINIQUAIS PAR LE BIAIS DE LA DIPLOMATIE INTERNATIONALE AUPRES DE L’ONU ET DU CONSEIL DE SECURITE ET DES PEUPLES FRERES S’IMPOSE A L’INSTAR DE LA CAUSE PALESTINIENNE
Considérant :
les légitimes ripostes populaires qui se justifient par le peuple et pour le peuple martiniquais avec quelques observations contradictoires bienfondés :
1-NE SONT PAS LES SEULES REPONSES AU NIVEAU DE LA MENACE D’OCCUPATION COLONIALE ET DU GENOCIDE DU PEUPLE MARTINIQUAIS :
a) Les seules démonstrations locales « d’apparats » des manifestations de force de quelque nature, aussi utiles quelles soient dans la phase actuelle du face à face PEUPLE/ OCCUPATION COLONIALE à la Martinique par devant les forces de l’ordre, gendarmerie et la police françaises et nos slogans et cris légitimes du combat:
·
« Nu
pa pè !
·
Nu pa
kobaye !
·
Liberté, Abas
Macron ! Abas Stanislas CAZELLES Aley Koké Manman-rou !
· Abas la dictature »
b) Ces
légitimes manifestations sont
suggérées très insuffisantes pour un
mouvement indépendantiste qu’il faille passer au niveau supérieur pour la libération : n’indiquent nullement qu’il
faille s’attendre où « FAIRE CROIRE AUX MASSES ET
POPULATIONS » qu’on ait seulement ainsi(…) l’obtention de victoires en rapport aux nobles aspirations
qui nous sont de droit.
c)
Ceci par
l’arrogance des non lieux des tribunaux coloniaux à chaque fois
lorsqu’il s’agit pour la justice française impérialiste de se prononcer.
d)
La dite justice dérape et dysfonctionne toujours pour couvrir
la caste des oligarques fonciers et
financiers des multinationales mises en cause.
En conséquence :
L’étape
complémentaire exige de hisser la lutte du peuple martiniquais au niveau
supérieur DE LA DIPLOMATIE & des RELATIONS INTERNATIONALES AUPRES DE L’ONU ET DU CONSEIL DE SECURITE ET
DES PEUPLES FRERES du Tiers Monde.
2-En tant que peuple et patriotes partisans indépendantistes nous devrons faire le constat du résultat NEGATIF de tout le traitement colonial des procédures d’indemnisation judiciaire de réparation du chlordécone et autres revendications légitimes de + de 400 ans de préjudices des crimes historiques impérialistes d’Etat.
3--Nous avons pour preuve à remonter aux dernières messes politiques préélectorales qui ont précédées les agendas des élections régionales de la CTM en 2021 où tous les partis politiques étaient représentés à la grande manifestation à la Maison des Syndicats et sur la Savane ou devant la préfecture à Fort de France.[3]
4--La politique doit rendre intelligible qu’en dépit des échauffourées, confrontations, slogans et revendications légitimes de liberté ou autres par devant les dites « forces de l’ordre, gendarmerie et police françaises » ; celles-ci comme instruments de la dictature d’occupation coloniale ne sont investies d’aucune compétence, prérogative, ou pouvoir de satisfaire nos aspirations de liberté, d’indépendance, ou de garantir quelconque de nos droits et revendications.
5-- Les dites « forces de l’ordre, gendarmerie et police françaises » sont des outils et instruments aveugles de répression au service d’un Etat dominant manipulateur et d’une occupation coloniale et de crimes étatiques passés et présents et futurs...
6- C’est plutôt ailleurs qu’il faut porter nos efforts et stratégies de lutte à mettre en œuvre une complémentarité tactique par les vrais patriotes et partisans dans d’autres directions politiques à faire entendre et reculer l’arrogance hégémonique de l’Etat dominant d’occupation coloniale et ses outils et instruments de répression criminels.
7--Pour des vrais patriotes indépendantistes le véritable devoir révolutionnaire ce n’est pas de prendre partie aux élections ou d’organiser des sempiternels manifestations « victimaires dans le cas de la dite réparation et de l’esclavage selon les modèles équivoques(…) de stéréotypes pratiqués » de certains acronymes politiciens opportunistes martiniquais connus… Ou bien comme il s’agit, de procéder uniquement à rassembler les masses populaires par dizaines, centaines et milliers ; mais surtout d’indiquer au peuple, à l’instar des républiques voisines indépendantes de la Caraïbe ( ST Lucie , La Dominique, la Grenade et autres) ; les moyens pour atteindre l’objectif de reprendre les terres volées en rapport à l’occupation impérialiste étant une manifestation hégémonique et dictatoriale pure et simple du système colonial ou néocolonial.
8-- La force du mouvement populaire à défaire ce système dépend de sa capacité à se dissocier de tous les agendas de service néocolonial proposés aux politiciens traditionnels auxquels les masses doivent se distancier.
Vu :
qu’une partie du peuple est dans la rue s’engageant à s’impliquer pour manifester en raison des menaces
existentielles qu’il a décidé apparemment
de combattre.
Alors en tant que patriotes ou partisans indépendantistes nous sommes confrontés à notre responsabilité d’assurer l’application « du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » tel qu’il s’inscrit dans la déclaration de la charte de l’organisation des nations unies. Ceci exigeant d’appliquer en conformité à cette charte de l’ONU les stratégies productives qui s’imposent.
Le mouvement indépendantiste doit se fixer cet objectif pour un mode opératoire très simple, clair proposé que la paix soit rendue au peuple martiniquais, que justice et paix lui soient effectives tel que notre NATION le mérite, compte tenu de plus de 300 ANS jusqu’à nos jours marqués du fait colonial : de l’occupation, des agressions, des abus, atteintes, de l’oppression, des chantages, et répressions qui sont autant de graves menaces existentielles que le peuple martiniquais ne peut continuer à subir au préjudice de ses droits inaliénables bafoués et de sa disparition programmée.
Vu :
que le mouvement indépendantiste est un bien commun impersonnel, il ne peut être institué en structure néocoloniale ou personnelle politicienne contreproductive et sclérosée mais comme l’outils du combat :
· des MASSES MOBILISEES pour le changement
· d’une opportunité présente et à venir avec cette partie du peuple sortie massivement dans la rue NON POUR LE CARNAVAL mais la résistance
· de l’instinct de conservation face à la dictature COVIDIENNE en marche,
Vu :
l’efficience et la légitimité de lutter contre :
· Les abus et atteintes du système d’occupation colonial français
· L’empoisonnement au chlordecone et aux OGM
· les libertés humaines bafouées
· le passe sanitaire, l’obligation vaccinale,
· l’imposition de rupture de contrats de travail et ou les licenciements des fonctionnaires et salariés des secteurs publics et privés,
· les contraintes et interdictions de se déplacer ou de voyager sans l’imposition « d’un passe sanitaire ».
· Le retour en 2021 aux modalités des marqueurs infamants imposés en 1939-1940 à discriminer les JUIFS des NON JUIFS durant le nazisme et le régime de Vichy.
· Les restrictions de la nouvelle dictature sanitaire discriminant divisant des vaccinés et non vaccinés martiniquais, guadeloupéens, guyanais et insulaires
· La division des peuples et populations en deux parties ou catégories bafouées de leurs libertés et droits fondamentaux et naturels.
Vu :
les impératifs d’urgence relatifs aux causes
récurrentes du « génocide par substitution » des martiniquais à
cours, moyen et long terme
Considérant que :
-« La Parole au Peuple » se doit être libre de s’exprimer et manifester clairement-sur la création de l’Etat Martiniquais et d’un gouvernement provisoire conformément à cette légitime urgence d’exigence politique imminente du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». charte des Nations Unies comme susmentionné et citée au préambule Titre 1 de la page 1)
- Chaque vrai patriote ou partisan
martiniquais (qu’il soit de droite, de gauche, de quelque race, ethnies et
obédience, à chaque graines des milliers
de manifestants ) SE DOIT DE SIGNER UNE REQUETE PETITIONNELLE de
l’ordonnance et l’obligation « du
droit des peuples à disposer d’eux-mêmes »
pour et par UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE
PREALABLE A « L’ETAT MARTINIQUAIS
-En requête collective il s’agit d’expédier DES PETITIONS SIGNEES PAR CENTAINES DE MILLIERS DE MARTINIQUAIS à L’Assemblée Générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité de l’ONU pour l’indépendance et « L’ETAT MARTINIQUAIS UNE EXIGENCE IMMINENTE » par le biais des instances internationales ci-contre :
-L’EXIGENCE POLITIQUE IMMINENTE DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE PREALABLE A L’ETAT MARTINIQUAIS » : SOUS REQUETE DIPLOMATIQUE INTERNATIONALE conforme à la charte de l’ONU doit être expédiée pour obtention par dépose à l’Assemblée Générale de l’ONU et au Conseil de Sécurité via transmission d’un circuit régional, national et international requérant auprès:
-Les USA -(Etats Unis d’Amérique)
-Le black Caucus
-L’OEA (l’organisation des ETATS D’Amérique) en rapport aux USA
-Le CARICOM (La Communauté
caribéenne, ou Communauté
des Caraïbes en abrégé CARICOM)
-BRICS (BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se
réunissent depuis 2011 en sommets
annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud)
-L'Organisation
de coopération de Shanghai (OCS ; Chine,
la Russie et
quatre États d'Asie centrale, le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan et le Tadjikistan. l'Inde et au Pakistan)
.
-Organisation de la conférence islamique ( Organisation of the
Islamic Conference),[4]
-L’OUA ou l’UA (Union Africaine)[5]
-
CONCLUSIONS 3
SORTONS DES RITUELS DE LA KOUYONADE INDEPENDANTISTE
L’heure de la vérité n’a telle pas sonnée pour sortir la Martinique de la kouyonade indépendantiste quelle soit « électoraliste » « racialiste[6] manifestive opportuniste» et autres gadgets d’électoralisme néocolonial politicien » DE CONTAMINATION puisque les preuves viennent de tomber le masque du faux militantisme, suite aux dernières ruées fanfaronnades aux élections régionales-CTM 2021, de leurs adeptes.
Ceux là mêmes qui ont usité de leurs derniers prétextes pour une tentative de se rallier et dévier les masses populaires, les opprimés et déshérités dont on sait maintenant le pourquoi de tels simulacres de leurs fausses manifestations et du pseudo activisme « d’indépendantisme » !
Diverses tromperies populaires électoralistes néocoloniales d’opportunisme ont fait l’objet de mobilisation connotées indexées :
- « du chlordecone »
-des OGM » de Mossanto[7] et ses multinationales de la mort à base alimentaire et sanitaire et lobbys pharmaceutiques destructeurs (suivant des études scientifiques acquises reconnues préjudiciables à nos vies, nos cellules, ADN humains.
- des occupations des grandes surfaces, super marchés,
-de l’identité « Black Live Mater » financée des oligarques esclavagistes modernes de SOROS et autres du N.O.M.( Nouvel Ordre Mondial et autres oligarchies ).
Ne droit t’on pas s’interroger de l’objectivité réfléchie au compte d’un vrai mouvement de libération s’agissant des actions contre productives et équivoques ? :
-des casses ou démolitions collectives
statuaires (des statues) revendiquées en Martinique du mimétisme du «Black Lives
Matter» financé des
mêmes oligarchies mais à quel profit ? Ou pour quel résultat ici et
maintenant ?
-Un paradoxe au regard des principes de conservation d’édifices publics ou des documents matériaux de l’histoire classés en mémoire du crime, ou de monuments historiques servant à l’économie du tourisme.
Bien au contraire au lieu de faire occulter ou disparaitre ces matériaux historiques de la scène du crime colonial, un vrai mouvement de libération serait dans l’objectivité du devoir d’assurer la protection des édifices historiques coloniaux au profit de l’économie touristique et des finances de ministères étatiques dans la perspective mémorielle affichée des antécédents des drames précurseurs d’un Etat martiniquais… !
Prenons Cuba ou tout autre gouvernement indépendant se réservant le droit de protéger au lieu de détruire ses édifices publics utiles par exemple : comme symbole ou butin de guerre au bénéfice l’acquisition des devises étrangères grandement utiles aux musés, ou documents historiques patrimoniaux d’un futur état martiniquais …
Disons comme dit l’adage « l’occasion (ne doit pas) faire le larron de l’opportunisme politique et des racialismes » du tout et n’importe quoi !
La raison efficiente des stratégies
ou tactiques du combat et des objectifs de la lutte indépendantiste ne doivent pas céder à
la chienlit (pagaille) au folklore ni au sensationnel d’improvisation sacrifiant
à l’affect dénué de niveau de conscience politique étatique de libération
indépendantiste réelle.
Surtout à l’heure de l’aggravation des conditions de vie et de lutte, concomitant au drame sanitaire du « COVID » et de la dictature sanitaire qui profitent :
a) tant au système capitaliste indexé du néolibéralisme machiavélisme luciférien autant pour la dépopulation globale par la létalité, faute de pouvoir recréer une guerre mondiale d’extermination des peuples comme (en 1914-1939- 1940)…
b) tant aux filiales des idéologies et tous les autres opportunismes dialectiques (dénoncées par Che Guevara) profitant de cette nécessité macabre sanitaire qui fait loi pour aguicher ou influencer et se rallier les masses désorientées par la peur sanitaire et le TRAUMA-COVID naturel ou fabriqué qui de toute manière importent peu pour le système.
c) Considérant la phase actuelle d’une offensive stratégique qui précède la phase de la prise du pouvoir par le peuple et pour le peuple :
« Donnons vraiment « la parole au peuple » :
Martiniquais et indépendantistes articulons le mouvement des masses dans la vraie direction de l’objectif :
· pour tous les vrais partisans et patriotes il l’essentiel de notre combat qui est de récupérer les terres volées de notre chère Martinique par les colonialistes envahisseurs et occupants français à l’instar des pays frères contre les colonialistes anglais, espagnols , portugais, hollandais et autres de ST LUCIE de DOMINIQUE DE GRENADE et de tous les peuples et nations de la Caraïbe et de l’Amérique latine.
· Assumons dignement avec stoïcisme et abnégation la mission de nos ancêtres qui n’était pas de « commémorer l’esclavage comme cérémonial politico-culturel victimaire racialiste ou fasciste jacobin nègre[8] », mais de combattre au prix du sacrifice patriotique de nos vies humaines pour fonder des nations, des états et des civilisations où il n’est pas d’Afrique aux Amériques…
· Le mouvement indépendantiste dans l’acception « du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » suivant la charte de l’ONU appartient à tous les vrais partisans et patriotes martiniquais, au peuple et populations opprimés qu’ils soient de droite ou de gauche et de quelques obédiences ou croyance… !
· Le Mouvement indépendantiste se doit d’être construit sur le pavé dans la rue, des ghettos où les masses sont indistinctement prêtes à se mobiliser comme elles l’ont démontré depuis le chlordecone, le COVID, LE PASSE SANITAIRE ce qui doit s’impliquer des stratégies de libération patriotique et non au contraire de récupération populaire.
Le mouvement de libération nationale conformément à la charte de l’ONU sur « le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » se doit se saisir des opportunités historiques de mobilisation populaires pour :
· Délivrer la Martinique et le peuple martiniquais des causes d’intimidations et d’oppression et d’exploitation du terrorisme sanitaire, et des déroulés du chlordecone, du traitement colonial du COVID, et du PASSE SANITAIRE.
· Les aspirations nationales indépendantistes martiniquaises, guadeloupéennes, guyanaises et insulaires n’ont rien à voir des revendications françaises pour ces mêmes motifs de la crise sanitaire.
· L’analyse de la contradiction politique avec l’hexagone indique que l’Etat Martiniquais n’existe pas encore, mais les colonialistes français se sont donnés les moyens et le droit de l’existence de leur Etat et de leur République. Cependant ces mêmes droits d’exister sont refusés à notre peuple martiniquais et nations non européens insulaires différents et distincts » de ces mêmes français et européens.
· Les français ont érigé leur V République de leurs luttes nationales pour la liberté, l’indépendance et souveraineté en rapport à leur victoire de la Résistance contre l’occupation nazie et leur régime traitre de collaboration de Vichy.
· Ce que l’occupation coloniale française avec ses forces de répression et ses agendas politiques néocolonialistes (incluant certains martiniquais, contre l’existence de notre souveraineté) ont comme mission de nous interdire contrairement à la charte des nations nies et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
· Nous ne devons pas confondre notre stratégie de lutte de libération Nationale de la Martinique et des colonies sous occupation impérialiste française n’ayant rien à voir avec leurs référents : « républicains, juridiques, constitutionnels, de démocratie.
· Nous devrions mettre en garde le peuple martiniquais contre certains assimilés politiques de « l’esclavage juridictionnel » qui ne sont pour certains des perroquets de l’assimilation politico-juridique à la base des concepts étrangers constitutionnels franco-républicains.
· Ceux là mêmes égarés en Martinique qui par opportunisme se font les interprètes politiques insulaires « du droit ou la constitution » des français[9] qui n’a rien à voir avec nos aspirations d’autodétermination de nos luttes indépendantistes.
· Nos objectifs de libération nationale sont des luttes pour récupérer les terres volées et accéder à notre indépendance étatique.
· Nos aspirations inaliénables n’ont rien à voir avec les MANIFESTATIONS stratégiques et tactiques des peuples français et européens basées « sur la constitution française, la démocratie, leurs libertés européennes » qui ne sont pas les nôtres, et ni même leur concept juridique.
· Notre libération nationale concerne d’autres réalités politiques paradoxales au combat (des démocrates, républicains français, et des Gilets Jaunes) contre le néolibéralisme et sa dictature anticonstitutionnelle de manipulation COVID et de division des masses reliées à la stratégie du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial) dans l’hexagone et en Europe
· Nous subissons à cause de la continuité coloniale territoriale d’occupation française : les dégâts collatéraux des agendas parisiens et européens du prolongement de la nuisance coloniale et néocoloniale par le biais des instances gouvernorates, des gestionnaires et administrateurs néocoloniaux tropicaux émargeant contre les intérêts fondamentaux d’autodétermination des peuples martiniquais et insulaires.
· La démocratie française ou la République française ou les libertés revendiquées des français sont un autre combat qui n’est pas celui du peuple martiniquais et des peuples insulaires.
· Effectivement aucune domination coloniale des français ou européens n’est concevable que par l’adhésion desdits démocrates et républicains français.
· Notre domination et exploitation en Martinique et aux dernières colonies seraient impossibles sans l’adhésion consensuelle des républicains, ou démocrates impérialistes franco-européens…
·
Dans leur quasi-totalité ces partisans de ladite
démocratie et république française de
tous poils, race et classes sont associés au consensus
de condescendance à la domination coloniale de nos pays.
· En l’occurrence lesdits démocrates et républicains français n’ont jamais renoncé à l’exploitation, l’occupation et la domination coloniale et ou néocoloniale.
·
A croire de notre dépendance une malédiction
raciale pour que « nos peuples colonisés soient leurs inférieurs »
colonisables et qu’ils détiendraient une
mission de mise sous contrôle impérialiste de nos peuples ainsi que nos
pays : la Martinique, de la Guadeloupe et de la Guyane et les dernières
colonies
· La vérité est que ce n’est que des luttes de nos ancêtres et de leurs aspirations de libération nos territoires occupés par l’impérialisme qu’émergent l’esprit et les fondements de notre droit à la résistance issue « du principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » stipulé en vertu de la charte des Nations Unies susmentionné et citée en référence au préambule Titre 1 de la page 2 et 3.
[2]
BBC NEWS/AFRIQUE 29 Mars 2021
Covid-19: pourquoi les États-Unis
ont lancé une enquête sur l'origine de la pandémie
[3]
Pour mémoire « Plusieurs milliers de personnes ont
manifesté samedi en Martinique contre la menace de prescription dans
le dossier du chlordecone. Cet insecticide, dont la
toxicité est connue depuis les années 1960, est accusé d'avoir contaminé plus
de 90 % de la population adulte martiniquaise et guadeloupéenne. Tel était le
slogan "Non à
l'impunité." C'est sous ce mot d'ordre que des milliers de
Martiniquaises et de Martiniquais se sont mobilisés, samedi 27
février, contre la menace de prescription dans le dossier du chlordécone.
Cet insecticide, autorisé pendant 21 ans dans les bananeraies des
Antilles, a pollué les eaux et productions agricoles – et un rapport parlementaire a affirmé, en 2019, que l'État était le
"premier responsable" de cette pollution ».[3]
[4] Une organisation
intergouvernementale créée le 25 septembre
1969. Son siège se situe à Djeddah en Arabie saoudite et
elle possède une délégation permanente aux Nations unies.
[5] Liste des états membres de l'Union africaine
- Afrique du Sud
- Algérie
- Angola
- Bénin
- Botswana
- Burkina Faso
- Burundi
- Cameroun
- Cap-Vert
- Comores
- Congo
- Côte d'Ivoire
- Djibouti
- Égypte
- Érythrée
- Éthiopie
- Gabon
- Gambie
- Ghana
- Guinée-Bissau
- Guinée équatoriale
- Kenya
- Lesotho
- Libéria
- Libye
- Madagascar
- Malawi
- Mali
- Maurice
- Mozambique
- Namibie
- Niger
- Nigeria
- République
arabe sahraouie démocratique
- Centrafrique
- République
démocratique du Congo
- Rwanda
- Sao Tomé-et-Principe
- Sénégal
- Seychelles
- Sierra Leone
- Somalie
- Soudan
- Swaziland
- Tanzanie
- Tchad
- Togo
- Tunisie
- Ouganda
- Zambie
Membres suspendus
- Mauritanie : suite au coup d’État du 6 août 2008 et la prise du pouvoir
par Mohamed Ould Abdel Aziz, la Mauritanie a été suspendue de l'Union africaine conformément à
l’article 4 de sa charte qui interdit les coups d'État.[1]
- Guinée : suite au coup d’État du 23 décembre 2008 et la prise du
pouvoir par le Conseil national pour la démocratie et le développement présidé par Moussa Dadis Camara, la Guinée a été suspendue de l'Union africaine conformément à
l’article 4 de sa charte qui interdit les coups d'État.[2]
Pays africain non adhérent
Maroc: Le Maroc avait quitté l’Organisation de l'unité africaine (OUA) le 12 novembre 1984 protestant contre l’admission de la République
Arabe Sahraouie Démocratique proclamée
par le Front Polisario. Ce territoire est également revendiqué par le Maroc. Lors de la création
de l’Union africaine qui a pris le relais de l’OUA en 2001, les autorités
marocaines ont affirmé que l'Union africaine répétait « l'erreur originelle commise par l'OUA en permettant à
cette entité fantoche de signer l'acte constitutif et de le ratifier par la
suite »[
Ajouté le 04/02/2009 par AE -
[6] « kamite » « afrocentriste » pharaoniste et autres
[7] Monsanto
Company est une entreprise américaine spécialisée dans la chimie
et la biotechnologie pour le secteur agricole,
absorbée le 7 juin 2018 par l'entreprise allemande Bayer.
Fondée en 1901 par John Francis Queeny, elle fusionne avec Pharmacia &
Upjohns en décembre 1999 et s'en sépare en 2002. Légalement,
l'entreprise Monsanto Company n'existe que depuis 2002 sous cette appellation3.
Dans les années 1940, Monsanto était un producteur majeur
de plastiques comme le polystyrène et
des fibres synthétiques. Monsanto est notamment la
première entreprise à avoir produit des LED visibles en masse4. Elle a
aussi produit des PCB et de l'agent
orange, de l'aspartame et de l'hormone bovine de croissance recombinée.
Au début des années 1980, le potentiel des biotechnologies
végétales provoque une forte réorganisation du marché des produits
phytosanitaires et des semences, autrefois séparés. Monsanto se désengage alors
de la chimie industrielle pour s’orienter vers la biotechnologie et les semences
via une politique de rachat intensif. D'autres entreprises du secteur de la
chimie agricole feront de même durant les années 1980 et 1990, ce qui
aboutira à la fondation des grandes entreprises du secteurs : Syngenta, Dow
AgroScience et Pioneer
Hi-Bred, toutes étant présentes sur les marchés des semences, des
produits phytosanitaires et des organismes génétiquement
modifiés (OGM).
Monsanto était jusqu'en 2000 détentrice du brevet aujourd'hui
tombé dans le domaine public sur le glyphosate, herbicide total
qu'elle commercialise sous la marque « Roundup »,
et qui reste l'herbicide le plus utilisé dans le monde.
L'entreprise a été impliquée dans divers scandales
sanitaires et écocides. Elle
est notamment soupçonnée de rémunérer, directement ou indirectement, des
experts et scientifiques afin de discréditer les lanceurs
d'alerte, donner une image positive des produits qu'elle vend et
faciliter l'agrément des autorités sanitaires5,6.
En septembre 2016, Monsanto a accepté une offre d'achat faite
par l'entreprise chimique et pharmaceutique allemande Bayer. La fusion des deux compagnies n'a pas conservé le nom Monsanto7.
[8] Mise en garde contre « le nazisme à rebours » de l’anthropologue sénégalais Cheikh Anta Diop qui malheureusement actuellement réactualisé du phénomène de l’opportunisme politique en Martinique et ses déviations du racialisme.
[9] Voir les notions de l’indépendance juridique et de recherches qui s’imposent pour l’élaboration du droit civil et public martiniquais qui relève du travail des chercheurs et docteurs en droit qui doivent dépasser les pratiques « d’esclavage juridictionnel » à reproduire le droit colonial au lieu de produire le droit tiré des sources législatives des traditions des coutumes ou principes qui composent l’histoire de nos civilisations non européennes afro caribéennes.
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