dimanche 2 octobre 2011

MARTINIQUE GUADELOUPE GUYANE "Nationalisme et facettes" SIONISME EDUCATION NATIOLALE ET NEOCOLONIALISME




LES TRAHISONS DES FONDEMENTS DES LUTTES ANCESTRALES A PARTIR DE L’EDUCATION NATIONALE COLONIALE FRANÇAISE OU QUELLE « MARTINICANITE » IMPOSÉE  D'UN NÉOCOLONIALISME  IMPOSE ?

En effet, avant et après 1848, et Septembre 1870 la résistance martiniquaise battait son plein avec les premiers révolutionnaires martiniquais qui étaient les peuples premiers Caraïbes et Awawaks ; ensuite les esclaves et les africains marrons et leurs successeurs qui appartiennent aux classes ouvrières et ouvriers agricoles et autres travailleurs martiniquais. Il faut ajouter certains valeureux intellectuels et autres martyrs y compris, ceux de l’OJAM et de décembre 1959 des fidèles héritiers qui ont été porteurs, de l’héritage révolutionnaire national et patriotique historique.
Cependant, avec l’infiltration du sionisme, dans le corps de la politique martiniquaise, il s’est opéré un tassement des énergies des luttes et du mouvement qui devaient libérer le peuple martiniquais pour fonder une nation et un pays libre.
Les trahisons des fondements des luttes ancestrales à partir de l’éducation nationale coloniale française.
C’est à partir de l’éducation nationale coloniale française, qu’il est venu les trahisons des fondements des luttes ancestrales qui ont été déviées par le colonialisme et des éléments autochtones qui étaient issus principalement de la culture étrangère intellectuelle française, ou de l’éducation coloniale nationale.
Le sionisme à travers la civilisation étrangère culturelle française, avait conçu à partir des concepts du colonialiste Jules Ferry d’orienter des idées et des concepts occidentaux et maçonniques inhérents aux idéologies exogènes occidentales et ou européennes pour saper les bases originelles nationales, identitaires, culturelles et spirituelles de l’imaginaire riche et composite martiniquais , fondement des composants, amérindiens, indiens, et afro descendants et des origines populaires du magma identitaire qui composent « la nation arc-en-ciel » martiniquaise remarquable de par ses capacités de tolérances et d’intégration.
Les contaminations du sionisme et ou de l’éducation nationale française par les leviers des secteurs d’influence maçonnique vont convertir une grande partie de l’élite autochtone issues des écoles étrangères françaises afin qu’elles puissent renier et renoncer à assumer l’héritage identitaire, culturel et spirituel qui a été le fondement des premiers révolutionnaires martiniquais qui étaient les caraïbes et les awwaks, les africains marron, les esclaves et les indiens et leurs successeurs en commun qui sont les ouvriers agricoles et travailleurs martiniquais.
Un tassement et des déviations vont commencer à tarir les fondements et les sources d’inspiration de la résistance martiniquaise pour empêcher l’édification normale d’une patrie et d’une nation, par le biais des élites autochtones martiniquaises issues des écoles coloniales sous l’influence des concepts julfériens et maçonniques. Le sionisme aurait donc chargé, certains martiniquais de travestir l’identité nationale à travers des essais et d’autres définitions identitaires qui ont échoués. En effet, le constat a été fait qu’au fil des années des revirements sous pression de la vérité politique, de certains intellectuels et politiciens inféodés, tenants de tels concepts sionistes de l’éducation nationale sur la définition de la « martinicanité ». Certes tous ces intellectuels et politiciens, ne font pas tous les aveux. Mais les postures « en yoyo » de certains apportent la preuve, de manière empirique et sans équivoque qu’ils s’étaient trompés. Certains culpabilisent et pratiquent l’obstruction et la censure par leurs réseaux de pouvoir néocolonial, d’autres semblent revenir timidement tout en étant toujours relié au système et à son projet institutionnel et ou néocolonial.
La « martinicanité » tel que le sionisme et l’éducation coloniale nationale l’avait concoctée, de ses laboratoires de la désinformation.
Durant des décennies certains intellectuels et politiciens néocolonialistes martiniquais du milieu, sous prétexte de vouloir s’imposer comme les pionniers et porte drapeau du « nationalisme » s’étaient efforcés de créer la confusion dans l’esprit du peuple martiniquais. Ceux-ci avaient profité de leur avantage, pour travailler et effectuer des efforts, depuis leurs associations, universités, et établissement scolaires coloniaux français. Ils se sont efforcés d’adopter une définition sioniste et maçonnique de la « martinicanité ». C'est-à-dire certains éléments avaient opté et choisis, pour nous martiniquais leur conception athée et matérialiste qu’ils souhaitaient projeter sur notre identité nationale. Par conséquent leurs visions projetées de l’identité ou « martinicanité » qu’ils avaient établies pour notre population et notre peuple sitôt sous leur contrôle néocolonialiste, devrait épouser de gré ou de force leur conception pro-occidentale, Julfrérienne, maçonnique, anti-spirituelle. Cette identité nationale martiniquaise concoctée des laboratoires de la désinformation de l’éducation nationale coloniale et néocoloniale préconisait les principes du colonialiste français Jules Ferry, chers à l’idéologie occidentale et sioniste de l’impérialisme.
Suite au régime de Vichy et à l’avènement du Gaullisme le colonialisme en Martinique et l’éducation nationale colonialiste disposaient d’une succession pyramidale de cadres et des notables contradictoires. Certains au départ très réactionnaires, parce qu’ils empêchaient les usages de la langue créole dans leur foyer, avaient cherché à l’imposer comme directive coloniale maçonnique aux établissement scolaires, à l’école française et dans toutes les administrations sous leur contrôle et gouverne. Par la suite, l’histoire martiniquaise viendra imposer une relève de ces cadres et notables de l’éducation nationale et des administrations. Et il va paradoxalement, naître de la descendance de certains tenants réactionnaires, des nouveaux éléments, à travers leurs progénitures qui ont été, consacrés " les champions du progrès national martiniquais depuis 1945-46". Qu’il s’agisse de diversion où caricature, pseudo nationaliste, il est passé par là officiellement, pour tous ceux qui ont consigné avec objectivité et sans parti pris partisan l’histoire des visages et facettes des nationalismes martiniquais.
Il ne va pas sans dire, que l’histoire retiendra, que se sont certains des fils mêmes de ces anciens notables réactionnaires, de l’éducation nationale, des officines maçonniques, qui vont faire mine de renier les pratiques de leurs aînés et pères ; pour se revendiquer eux, comme des symboles d’un néo-nationalisme issus de l’éducation coloniale nationale et de « la langue créole voir du drapeau martiniquais et pourquoi pas de leur concept de « l’État martiniquais ». L’histoire notamment du Sud martiniquais est marquée de cette réalité.[1]
Dés les années 1968- 1969, avec la montée en puissance des revendications légitimes nationalistes et ou indépendantistes et patriotiques le mouvement national a été infiltré de fait, par l’influence sioniste et maçonnique à partir de certains bastions dans tous les secteurs géographiques. La poussée aurait été plus forte dans certains secteurs géographiques où la diversion néocoloniale, de la fausse opposition au colonialisme avait trouvé des éléments politiques de nature à incarner de manière charismatique, cette déviation identitaire et politique. Ceci est pour beaucoup dans les échecs des idéaux et dans les orientations nationales et patriotiques de libération de notre peuple et pays.
Sous l’influence maçonnique et de l’éducation nationale coloniale, il va s’opérer des méthodes et stratégies de récupération[2] patriotiques et nationalistes fondées sur cette définition et déformation identitaire martiniquaise de la « martinicanité ». Il s’agit ni plus ni moins, d’un projet de dictature occidentale et sioniste à travers certaines élites petites bourgeoises et de notables martiniquais[3].
Le néocolonialisme inhérent au projet national d’une « martinicanité » d’un certain nationalisme d’enchoukage, (par opposition au nationalisme et patriotisme libérateur dit de déchoukage)[4] des années 1960 à 2010 n’a-t-il pas fait échouer,( telle une caution d'émargement néocolonialiste) le processus de revendication identitaire martiniquais qui devait initier la résistance civile et nationale à l’occupant colonialiste et à l’occupation française ?
Un tel projet cynique qui aurait été prévu ne pouvait se réaliser qu’à surprendre et poignarder dans le dos le peuple martiniquais. Mais l’histoire en a décidé autrement, du fait que ces éléments néocolonialistes aient enregistrés de nombreuses erreurs et des échecs. Ce qui ne signifie pas, de tels éléments, qu’ils aient renoncé à leurs complots maçonniques, contre notre peuple et nation. Cependant la véritable sauvegarde, réside de la garantie que la lutte révolutionnaire ancestrale de notre peuple doit continuer. Cette lutte de libération nationale est depuis garantie par la résistance anti-impérialiste mondiale, dont notre peuple et nation de même que les pays de la région ne sont que des composantes résistantes tel que le mouvement bolivarien et ou l’alliance géostratégique mondiale anti-impérialiste et antisioniste qui possède ses règles ou conventions impersonnelles et spécificités qui s’appliquent à l’universel. Loin d’être revancharde et assassine, cette lutte du mouvement bolivarien et l’alliance géostratégique mondiale anti-impérialiste et antisioniste est généreuse. Parce qu’elle elle a opté pour l’efficience contre la division et le gâchis des hommes ; c'est-à-dire pour la longanimité et le pardon des erreurs et des fautes de tous les patriotes qui y ont renoncé pour rejoindre la juste lutte et le camp anti-impérialiste.
Cette analyse s’accompagne du récit des actions violentes qui ont été menées par des néocolonialistes martiniquais, contre tous les révolutionnaires martiniquais qui tentaient des initiatives pour se rattacher à l’identité de la population martiniquaise afro descendante particulièrement opprimée en raison raciale et culturelle d’où qu’elles ont été victimes des crimes contre la parenté et l’identité africaine. Il en a résulté du racisme de la négrophobie de l’ascendant pro-occidental, maçonnique et du système maçonnique ou du sionisme Julférien imposé par le colonialisme français.
Des politiciens et intellectuels, et qui reconnaissent s’être trompés, avaient cru bon d’antan par ces biais, ruiner l’africanisme martiniquais et caribéen. Pour évacuer une telle problématique identitaire nationale, ils ont effectué des tentatives de récupération de la question indienne et amérindienne martiniquaise afin de les opposer à l’afro descendance martiniquaise.
Des fautes et erreurs gravissimes ont été commises pour manipuler la nation arc-en-ciel martiniquaise sous l’influence des éléments qui avaient tenté en vain de désorienter l’identité nationale, sur la base de leur « martinicanité ». Selon eux l’identité nationale martiniquaise devait être « julférienne, maçonnique, pro-occidentale, anti-spirituelle, athée matérialiste, anti-cléricale ». C’est la raison pour laquelle durant des décennies, qu’il a été censuré et réprimé la culture et les spiritualités africaines des afro descendants martiniquais et de la majorité de notre population.
Depuis les laboratoires de la désinformation avec les colonialistes, certains autochtones néocolonialistes et le système répressif, avaient choisis de s’attaquer à la légitimité de l’église orthodoxe d’Éthiopie en Martinique sous prétextes de la drogue[5]. En réalité, ils espéraient ruiner l’africanisme et les spiritualités pratiqués par les africains ; y compris l’islam en l’opposant à la stratégie maçonnique sioniste napoléonienne de division par l’égyptologie ou l’égyptianisme[6]. Ces cultures et civilisations spirituelles avaient été toujours opposées à la domination coloniale de l’Église apostolique romaine. De même que notre population et peuple martiniquais étaient les cibles du poignard maçonnique et sioniste de la désinformation. Il était aussi question d’aveugler et de discréditer aux yeux d’une population, l’Afrique et sa culture, et ses ressortissants afro descendants martiniquais. A cause de l’athéisme et leur matérialisme des persécutions des militants martiniquais se sont produites pour tenter de ruiner l’africanisme et les obédiences spirituelles monothéistes, africaines et autres traditions.
Sans pouvoir faire l’aveu explicite de leurs fautes et erreurs et des torts politiques. Ces éléments pensaient à fortiori, que l’africanisme martinico-caribéen, porteur de civilisation et de spiritualité et d’un système non européen de libération, capable d’être institué en droit non européen, était leur « ennemi » plutôt que le colonialisme.
C’est par rivalité que ces politiciens et intellectuels aient accepté, de s’être faits convertir au néocolonialisme. Ainsi dire, pour pouvoir s’opposer et lutter contre l’africanisme et ipso facto à détruire l’avenir naturel du peuple et de la nation martiniquaise par leur intervention pro-occidentale équivoque.
En effet, nos spiritualités martiniquaises aux origines des « visages d’Afrique »[7] leur semblaient d’une incompatibilité co-existentielle ; et de nature à défaire leur projet national néocolonial de la « martinicanité » occidentale. De telles positions extrémistes et dictats idéologiques ont entraînés malheureusement des responsables martiniquais liés au système, à persécuter et à éconduire malhonnêtement, nombre de martiniquais et de militants.
Aujourd’hui des néocolonialistes martiniquais, ou ces gens là continuent par leur diversion à vouloir tout récupérer du pouvoir, sur le plan politique et médiatique par le biais de leurs réseaux néocolonial lies au pouvoir colonial et maçonnique.
Un de leur objectif est de trouver des stratégies afin de neutraliser la jeunesse martiniquaise qui se démarque et qui dispose de toutes leurs facultés de se révolter contre, l’administration, et ou le système colonial et néocolonial, à l’instar du « printemps arabe » une menace pour tous les néocolonialismes endogènes dans le monde entier.
Alors qu’ils continuent à censurer de par tous les réseaux où ils disposent de leurs amis et officines en Martinique. Ces éléments par le clientélisme, et toutes les ruses effectuent de nombreuses tentatives (meeting, colloques, manifestation symboliques, commémoration, tentatives de recrutement et de pseudo mobilisation, sans aucun programme et plan d’action de libération nationale). Ces vieilles manœuvres, ne servent qu’à récupérer et neutraliser les martiniquais censés être des membres potentiels d’autres structures alternatives de réelle libération. Ils disposent de faux opposants, relevant sournoisement de leurs mêmes ambitions initiales (auxquelles ils n’aient pas renoncé totalement): matérialiste athées, pro-occidental et sioniste un même socle de leur projet initial de la « martinicanIté ». D’autres groupuscules, tentent encore d’imposer, comme un sacrement sectaire, d’autres concepts vidés de structure et du pouvoir. De nos jours, nous avons le concept « d’État martiniquais l’apanage d’un groupuscule» sans structure et levier, contrairement « au serment du bois caïman en Haïti qui reposait sur une révolution pour la prise du pouvoir. Aujourd’hui à la Martinique, on retient, qu’une infime minorité, micro groupusculaire, s’étant approprié et autoproclamé d’instituer le concept « de l’État martiniquais » ; telle une abstraction mythique. Cette dérobade, pour peu qu’elle n’avoue profiter d’une diversion ; s’est défendue, d’appartenir aux réseaux du néocolonialisme martiniquais. Mais en réalité, cette obsessionnelle auto proclamation pour peu qu’elle soit politique et partagée et dont le postulat indique « s’être institué » « l’État martiniquais » à un tel niveau d’abstraction et de restriction ; ne cache telle pas difficilement le projet initial de « la martinicanité ». Tel l’arbre qui cache la forêt où ne sont pas très éloignés tous les réseaux « des amis des amis » des néocolonialistes martiniquais qui se tiennent des officines amis et alliées.
Même sous couvert de l’équivoque, l’extrémisme se nourrit toujours de la logique politique sectaire inhérente au matérialisme athée ... Même que tout ceci est accompagné du couvert des mythes et du syncrétisme idéologique chers aux officines napoléoniennes(… ) ou maçonniques et sioniste. Il ne va pas sans dire que ces syncrétismes d’officine et des réseaux philanthropiques politiques, cultivent les cercles du néocolonialisme martiniquais. Tout comme il se fait en Afrique par la franc-maçonnerie de telles connivences répréhensibles, contre les peuples et nations, avec la France Afrique de l’impérialisme et du capitalisme néolibéral. Ce qui se passe pour le néocolonialisme martiniquais en rapport avec la franc-maçonnerie et le sionisme n’a rien à voir avec la révolution historique d’Haïti et les révolutionnaires du serment anti-colonialiste du bois Caïman.
Par contre, ce qui doit susciter la double vigilance, ce sont les stratégies et méthodes de récupération susceptibles d’être utilisées. Cette possibilité, par le néocolonialisme martiniquais délégitimé existe, d’utiliser ses jokers pour le piège de l’extrémisme politique. Des faux opposants peuvent prendre des postures radicales. Ils ont la possibilité, d’être téléguidés par les confréries et réseaux des mêmes éléments. Leur objectif pour le pouvoir étant l’espérance d’une résurrection après la mort du nationalisme d’enchoukage néo-colonialiste en Martinique ayant perdu tout crédit et légitimité, qui doit partir pour être remplacé par un réel mouvement de libération auquel ils se refusent toujours de se reconvertir en politique. La vérité étant le verdict de l’histoire, il appartient qu’au vivant peuple martiniquais authentique, et à la revendication du pouvoir par la jeunesse d’imposer, aux dictatures coloniales et néocoloniales, la libération nationale martiniquaise, de concert avec le mouvement anti-impérialiste et antisioniste mondial contre l’oppression.
EN GUISE DE CONCLUSIONS
PREROGATIVES du mouvement universel de sauvegarde des peuples opprimés.
« SYANS POLITIK BOKAY »/ kon’lanbi deux questions en cinq réponses :
A PROPOS DU NEOCOLONIALISME MARTINIQUAIS, SA CENSURE ET SES RESEAUX DE POUVOIR D’OBSTRUCTION SONT-ILS DES ACTES POLITIQUES DESSPERES OU IMPRODUCTIFS ?
DE TELLES PRATIQUES, FAUTES D’AVOIR ETE ABABDONNEES ET REMISES EN CAUSE FONDAMENTALEMENT, NE SONT-ELLES PAS CENSEES ETRE FATALES À TERME AU NEOCOLONIALISME MARTINIQUAIS ?
1-Le néocolonialisme martiniquais, n’a jamais comme ennemi, le colonialisme français. Mais il redoute l’émergence des forces nouvelles et leurs capacités potentielles et existantes de déjouer et d’informer sur les trahisons et les complots contre notre nation martiniquaise ayant le besoin urgent d’assistance à peuple en danger.
2-En situation d’échec le néocolonialisme martiniquais qui a perdu toute légitimité sait qu’il doit partir et disparaître par « la revendication du pouvoir au peuple »par la jeunesse, nouvellement mobilisée par le biais des réseaux sociaux facebook, twitter… armes de destruction massive qui renversent toutes les dictatures » à l’instar des bouleversements en Tunisie, en Égypte, au Yémen dans le monde arabe.(voir Kon’Lanbi N°1 Mai-Juin- Juillet 2011).
3- Le néocolonialisme martiniquais sait qu’il est condamné à terme, car les éventuels mouvements de la jeunesse de « revendication du pouvoir au peuple », sont crédibles à obtenir l’aide et le soutien du mouvement mondial anti-impérialiste et anti-sioniste, pour combattre tous les oppresseurs du peuple martiniquais ou de la nation. Un soutien auquel le néocolonialisme ne peut prétendre en dépit des diversions et rafistolades politiques et symboliques.
4-le néocolonialisme martiniquais, n’est pas censé ignorer qu’un tel soutien ne peut qu’être exclusivement réservé à un mouvement effectif de libération nationale, une garantie ipso facto ; des conditions obligatoires de la victoire garanties au peuple martiniquais, qu’une telle aide et le soutien politiques inéluctables de la résistance mondiale anti-impérialiste et anti-sioniste. C’est une des clefs d’assurance, du succès national, octroyées au peuple ou nation martiniquais, de par la force d’expérience de ce mouvement mondial aux portes de la Caraïbe et de l’Amérique du Sud contre les trahisons et l’oppression d’où qu’elles viennent.
5- Il est cependant à signifier, les vertus d’un telle garantie de justice équitable, entendu, que loin d’être revancharde et assassine, il est conféré à un tel mouvement universel de sauvegarde des peuples opprimés ; des capacités mondiales et de la force insondables ; ce permettant sans crainte à un tel mouvement anti-impérialiste et anti-sioniste, d’accueillir : « le pardon des fautes et erreurs politiques des faibles et opprimés. Suivant la doctrine humanitaire stipulant de « la prévalence de la clémence politique sur le châtiment politique». Bien entendu, à condition d’avoir souscrit :
· à renoncer aux fautes et trahisons politiques,
· à renoncer définitivement à toutes les postures d’exploitation et ou d’oppresseurs» ; y compris à perdurer les stratégies qui relèvent de telles pratiques.
· Et enfin, d’accepter librement, de plein gré,la juste lutte , et de rejoindre et le camp anti-impérialiste et anti-sioniste, prêt à l’accueil des autocritiques, et du soutien des opprimés et résistants d’une nation.

[1] Au secteur sud de la Martinique, de Victor Sablé à Jules Sauphanor, ces maçons en puissance avaient marqué et mis en scène toute une ancienne génération, d’une appartenance de droite réactionnaire ; des notables en question y compris de l’éducation nationale et de la politique de proximité parentale et d’officine. Cette réalité du Sud martiniquais, a produit de certains fils des primates réactionnaires des nationalistes et patriotes du genre. On peut citer Internet en consultant google « NATIONALISME EN MARTINIQUE » « qu’un dénommé Alex Ferdinand et Cabort Masson aient produit, soi-disant, le drapeau « rouge noir vert ». Alors voir KON LANBI N°1 « s’agit du drapeau des peuples noirs crée en 1920, inventé par un mouvement des Africains américains, « en réponse à une chanson raciste, écrite en 1900 qui s’intitule Evry race has a flag but the « Coon ». Ce qui veut dire que toutes les races ont leur drapeau sauf les nègres . Le drapeau est ainsi nommé drapeau panafricain, drapeau afro-américain, un drapeau de libération des noirs. En libye indépendante on a rajouté un croissant et une étoile pour signifier au monde que l’Afrique est en grande partie musulmane. Le rouge correspond au sang qui unit tous les peuples ayant des ancêtres africains, et celui de la lutte pour la libération. Le noir correspond au peuple noir en tant que nation. Le vert correspond à l’abondance de la nature d’Afrique » (Sources Majliss internet 25 02 2011).c’est aussi le drapeau d’Idriss Al Sénoussi et l’emblème national de la nouvelle Libye de 2011.
[2] Voir « La Franc-maçonnerie et le Colonialisme » : Tome 1 Frères des Iles Dialogues Politiques Discours de la Révolution Culturelle. Éditions O.P.F.I. 22 Mai 1989 Dakar. Consultation bibliothèque Tiersmondiste Mackandal Section Afro-antillo guyanaise.
[3] Un observateur guadeloupéen en Martinique « I. JINGHA » a relevé dans ses témoignages à des tiers, les propos d’un sociologue martiniquais de ces obédiences nationalistes (Louis Félix O) qui prédisait en privé, en 1992, lors d’un meeting au marché couvert, dans une commune du Sud, vouloir mettre avec ses camarades politiques une dictature en Martinique.
[4] Voir Kon’Lanbi N°2 PAGE 3 : « La politique des possessions françaises à l’instar des protocols de la politique sioniste. Patriotisme et ou nationalisme libérateur, par rapport au patriotisme d’enchoukage »
[5] Le mouvement rastafari faisait peur à cause du panafricanisme et par son illustration dans la Caraïbe avec l’impact de la résistance dans l’île de la Grenade marquée par l’intervention assassine US contre le martyr Maurice Bishop qui a été aidé dans son combat par des commandos de résistants caribéens RASTAFARIS et le révolutionnaire DESMON TROTER , des musulmans noirs dit black muslims de diverses îles caribéennes.Il y avait des ordres surveillance des pouvoirs impérialistes à mettre à exécution aux dernières possessions françaises voir de réprimer, par tous les moyens et prétextes, les Rastafaris , l’Église orthodoxe Éthiopienne et les musulmans afro descendants caribéens.
[6] VOIR le Chapitre 8 page 316 à 327 « Provenance d’Autres Vecteurs de conflit en Afrique « dans le livre L’Âme de l’islam au cœur des Antilles Guyane Auteur Barik X Mahmoud Barka 2009 Éditions Mackandal Rivière Pilote.
[7] Durant les années 2000 nos émissions sur TV Cable Martinque KMT sur « les Visages d’Afrique » animées par l’écrivain Max Dufréno ont été interrompues après six mois sur intervention de certains éléments néocolonialistes et sionistes.

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